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Pour Raymonde Viret, qui vient de souffler ses 100 bougies, la retraite attendra… Née il y a un siècle, le 12 avril 1924, elle continue de recevoir chaque semaine des « élèves » dans son appartement du Ve arrondissement de Paris pour les entraîner à « placer » leur voix.

Depuis les années 1970, cette ancienne chanteuse, entrée dans la Résistance à l’âge de 16 ans, dispense des cours bien particuliers aux adultes qui viennent la voir. Qu’ils soient artistes, comédiens ou encore avocats, la coach vocale parvient à déceler leurs failles intimes à travers le timbre de leur voix et le rythme de leur souffle.

Quelques stars ont bénéficié de son écoute et de ses enseignements, comme son acteur chouchou Jacques Weber, le comédien François Morel, ou encore le chanteur Maxime Le Forestier.

Pour Code source, Raymonde Viret a accepté de raconter son parcours au micro d’Ambre Rosala.

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Le Parisien, INA.

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(Suite et fin) Il est passé tout près d’une mort aussi tragique que brutale. Dans la nuit du 22 avril, le chanteur Kendji Girac est transporté au CHU de Bordeaux. Une balle lui a traversé le thorax et son pronostic vital est engagé dans un premier temps. Les gendarmes, prévenus un peu après 5h30, ont découvert l’artiste dans un état très grave sur une aire d'accueil de gens du voyage à Biscarrosse (Landes).

L’information fait l’effet d’une bombe lorsqu’elle tombe au petit matin. L’interprète de « Color Gitano » n’a que 27 ans, et il est au sommet de sa gloire. Révélé dans le télé-crochet « The Voice » sur TF1 en 2014, sa voix puissante et ses refrains entêtants l’ont propulsé au rang des artistes les plus populaires de la chanson française. Selon les premiers éléments de l’enquête judiciaire, la star semblait traverser ces derniers temps une période difficile…

Qui est Kendji Girac ? Comment en est-il venu à se blesser par balle cette nuit-là dans sa caravane ? Code source raconte son parcours dans un épisode en deux parties avec Marie Poussel et Emmanuel Marolle, journalistes au service culture, et Vincent Gautronneau, journaliste au service police-justice.

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(Première partie) Il est passé tout près d’une mort aussi tragique que brutale. Dans la nuit du 22 avril, le chanteur Kendji Girac est transporté au CHU de Bordeaux. Une balle lui a traversé le thorax et son pronostic vital est engagé dans un premier temps. Les gendarmes, prévenus un peu après 5h30, ont découvert l’artiste dans un état très grave sur une aire d'accueil de gens du voyage à Biscarrosse (Landes).

L’information fait l’effet d’une bombe lorsqu’elle tombe au petit matin. L’interprète de « Color Gitano » n’a que 27 ans, et il est au sommet de sa gloire. Révélé dans le télé-crochet « The Voice » sur TF1 en 2014, sa voix puissante et ses refrains entêtants l’ont propulsé au rang des artistes les plus populaires de la chanson française. Selon les premiers éléments de l’enquête judiciaire, la star semblait traverser ces derniers temps une période difficile…

Qui est Kendji Girac ? Comment en est-il venu à se blesser par balle cette nuit-là dans sa caravane ? Code source raconte son parcours dans un épisode en deux parties avec Marie Poussel et Emmanuel Marolle, journalistes au service culture, et Vincent Gautronneau, journaliste au service police-justice.

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Il sera l’un des 9 membres du jury du prochain festival de Cannes, qui s’ouvre le 14 mai prochain. A 46 ans, Omar Sy est aujourd’hui une star internationale qui compte plus de 40 films au compteur. Révélé en 2011 par « Intouchables », il s’est ensuite installé à Los Angeles où il a rapidement décroché plusieurs rôles dans des blockbusters américains comme « X-Men: Days of Future Past » ou « Jurassic World ».

La semaine dernière, à l’occasion de la sortie de son premier livre, « Viens on se parle » (éditions Albin Michel), un ouvrage d’entretiens menés par la journaliste de l’Obs Elsa Vigoureux, Omar Sy était de passage dans nos locaux pour répondre aux questions de lecteurs du Parisien. Il est notamment revenu sur son enfance à Trappes, sur sa carrière et sur sa nouvelle vie aux Etats-Unis.

Pour Code source, Catherine Balle et Sandrine Bajos, journalistes du service culture du Parisien, retracent son parcours, de Trappes à Hollywood.

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Ce lundi s’ouvre le procès du double assassinat de l’aéroport de Bastia, devant la cour d'assises des Bouches-du-Rhône, à Aix-en-Provence. 16 accusés vont comparaître. L’un deux, Christophe Guazzelli, un ex-footballeur et ancien espoir du FC Nantes, est accusé d’être le tireur présumé. D’après l’enquête, l’homme âgé de 32 ans voulait venger son père, un ancien membre du fameux gang corse « la Brise de mer », qui trouva la mort en 2009, abattu de plusieurs balles. 

Les faits se déroulent le mardi 5 décembre 2017, à l’aéroport de Bastia, en Corse. Peu après 11 heures, un avion en provenance de l'aéroport d’Orly atterrit. A bord, il y a Jean-Luc Codaccioni. Incarcéré à la prison de Borgo dans le nord de l’île, il revient de Paris où il a profité d’une permission de sortie de quelques jours, en vue de sa réinsertion. Un ami l’attend devant l’aérogare. Il s’apprête à rentrer dans sa voiture, mais tout d’un coup, un homme surgit et ouvre le feu sur les deux hommes.

Pour Code source, Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien, revient sur la parcours de Christophe Guazzelli et sur ce double assassinat survenu en décembre 2017. 

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Étienne Daho s’apprête à partir en tournée, un an après la sortie de son treizième album « Tirer sur les étoiles » et quelques mois après un concert devant près de 17 000 spectateurs à l’Accor Arena, la plus grande salle de sa carrière. 

Étienne Daho est né à Oran, et a grandi à Rennes. Très tôt attiré par la musique, il sort un premier album en 1981 « Mythomane » et trois ans plus tard, en 1984, il connaît le succès avec son deuxième album « La notte, la notte ». Mais malgré la « dahomania » des années 1980 et la popularité qu’il connaît dans les décennies qui suivent, Étienne Daho vit aussi des périodes plus sombres, marquées par les excès et la dépression. 

Pour Code source, Eric Bureau, journaliste au service culture du Parisien et Emmanuel Marolle, chef de ce service, font le portrait d’Étienne Daho. 

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Le 23 février 2024, Raphaël Quenard est sacré meilleure révélation masculine lors de la 49e cérémonie des César pour son rôle dans le film « Chien de la casse ». L’acteur de 32 ans était nommé dans trois catégories, un an à peine après s’être fait remarquer par le grand public.

Originaire de Gières (Isère), Raphaël Quenard a eu plusieurs vies avant de devenir acteur. Il a notamment suivi une préparation aux écoles militaires, fait des études de chimie, et il a même été assistant parlementaire pour une députée savoyarde pendant quelques mois. En 2016, il déménage à Paris et décide de se lancer dans le cinéma. Il décroche un rôle dans la série « HP », et en mars 2023, il décolle enfin grâce à son rôle dans le film « Je verrai toujours vos visages », dans lequel il joue notamment aux côtés d’Adèle Exarchopoulos.

Code source fait le portrait de Raphaël Quenard avec Renaud Baronian, journaliste au service culture du Parisien. 

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Plusieurs femmes accusent deux frères originaires du Val-d’Oise, Mounir et Mustapha F., de leur avoir volé des dizaines de milliers d’euros via un vaste réseau d’arnaque à la romance qu’ils auraient mis en place avec la complicité de plusieurs notaires. 

Selon les victimes, le mode opératoire est toujours le même : Mounir et Mustapha F. ciblent des femmes trentenaires, célibataires, et entament une relation avec elles avant de leur faire contracter des prêts immobiliers pour acquérir des biens aux enchères. Ensuite, grâce à un système complexe de prête-noms et de notaires complices, ils réussissent à récupérer le bien, et leur victime se retrouve à devoir rembourser le prêt. Une information judiciaire a été ouverte en 2020, mais l’enquête semble aujourd’hui au point mort. 

Code source fait le point sur ce dossier avec Lucie de Perthuis, journaliste au service faits-divers Ile-de-France du Parisien.

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Quand il est à l’école primaire, la vue de Nicolas Moineau commence à diminuer. Dans un premier temps, il cache son handicap. Mais un jour, alors que son professeur lui demande de lire un texte à voix haute devant la classe, il en est incapable. Ses parents sont convoqués et ils décident de l’emmener voir un spécialiste. Nicolas a 14 ans quand le diagnostic tombe : il est atteint de rétinite pigmentaire, une maladie dégénérative de l'œil.

Le médecin lui annonce que sa vision va se dégrader progressivement, jusqu’à devenir complètement aveugle. Nicolas s’enferme dans le déni et ses résultats scolaires chutent. Il finit par arrêter le lycée pour suivre des cours à domicile. Quand il a 18 ans, il intègre un établissement adapté aux déficients visuels, situé à Clermont-Ferrand. Là-bas, il découvre l’escalade, un sport qui va lui permettre d'accepter sa maladie. 

À l’occasion de la sortie de son livre « À perte de vue », publié en mars aux éditions Arthaud, Nicolas Moineau raconte son histoire pour Code source, au micro d’Ambre Rosala.

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Le mercredi 10 avril, Louane monte sur la scène de l’Olympia. La mythique salle parisienne affiche complet ce soir-là. L’artiste de 27 ans est seule sur scène, entourée de claviers et d’ordinateurs, et reprend son numéro de femme-orchestre qui avait supéfait l’audience de la dernière cérémonie des Victoires de la musique. Pendant l’intégralité du concert, Louane chante et joue seule dans un numéro méticuleusement chorégraphié, aussi impressionnant que poétique. Onze ans après « The Voice », l’ancienne candidate du télé-crochet à fait du chemin… 

Anne Peichert, de son vrai nom, a grandi à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), dans une famille nombreuse. Après la télévision, elle s’est surtout fait connaître dans le film « La Famille Bélier », un carton qui lui a valu le César du meilleur espoir féminin en 2015. Son dernier album « Les sentiments », est sorti en décembre 2022.

Pour Code source, le chef du service culture du Parisien, Emmanuel Marolle, qui s’est rendu à son concert, revient sur la carrière de Louane.

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Alexandre Ferreira - Musiques : François Clos, Audio Network, Louane - Archives : TF1, C8, « La Famille Bélier » (2014), chaîne Youtube « GLEB », C8.

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Un soir d’avril 2018, son ancien compagnon rentre d’une soirée, fortement alcoolisé. Laura Rapp vient de coucher leur petite fille âgée de 2 ans et demi et lui demande de ne pas faire de bruit. Il refuse, s’énerve contre elle et devient très violent. Laura tente de lui échapper en se réfugiant dans la chambre mais il l’a rattrape et l’étrangle à plusieurs reprises, avant de lui frapper la tête contre le sol, devant leur fille. Elle sera finalement secourue in extremis par ses voisins. Ce soir-là, Laura Rapp raconte « avoir vu la mort ». 

Depuis sa rencontre en février 2013 avec le père de sa fille, elle vit une longue descente aux enfers, faite d’insultes, de coups et de menaces de mort, jusqu'à cette nuit d’avril 2018 où elle décide de porter plainte contre lui et de déménager avec sa fille. S’engage ensuite un long combat judiciaire qui durera près de 6 ans. Car après sa condamnation en 2019 à 8 ans de prison ferme pour tentative de meurtre, son ex-compagnon décide de porter plainte contre elle deux ans plus tard pour diffamation, suite à la publication d’un livre, « Tweeter ou mourir », aux éditions Michalon, dans lequel Laura raconte ce qu’elle a enduré à ses côtés.

Code source avait déjà consacré deux épisodes à Laura Rapp, l’un en 2019 et l’autre en 2020. Aujourd’hui, au terme d’un long combat judiciaire, Laura a 36 ans et elle voit enfin le bout du tunnel. Elle raconte son histoire au micro d’Ambre Rosala.

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Le mardi 2 avril, en fin d’après-midi, Samara, 13 ans, sort de son collège à Montpellier. Selon les premiers éléments de l’enquête, plusieurs collégiens rouent de coups l’adolescente scolarisée au collège Arthur-Rimbaud et la laissent inanimée sur le trottoir. Victime d’une hémorragie cérébrale, Samara est transportée à l’hôpital dans un état grave, où elle est placée dans un coma artificiel. 

Elle est depuis sortie du coma et ses jours ne sont plus en danger, mais elle reste aujourd’hui profondement traumatisée, incapable de retrouver une vie normale. Dans les jours qui suivent son agression, sa maman pointe rapidement du doigt l’inaction du collège, incapable de proteger sa fille. Selon plusieurs témoins, Samara était en effet victime de harcèlement de la part d’autres élèves, notamment sur les réseaux sociaux.

Code source fait le point sur cette affaire avec Juliette Pousson et Frédéric Gouillard, journalistes du Parisien en charge de l’éducation et la jeunesse au service société.

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Le 6 avril, au 270 avenue du Président-Wilson à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), plusieurs personnes sont réunies pour assister à l’inauguration d’un grand bâtiment de verre qui appartient à l’Église de scientologie. Ce nouveau siège, qui se trouve juste à côté du Stade de France et de plusieurs sites olympiques des JO de Paris 2024, est le résultat d’une longue bataille administrative avec les élus locaux, lancée en 2019, afin d’empêcher l’implantation de l’organisation à Saint-Denis.

Sur place, plusieurs fidèles immortalisent le moment alors que d’autres sont ici pour alerter sur les dérives du mouvement, surveillé de près par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes). Si l’Église de scientologie est reconnue comme une religion aux États-Unis, elle est considérée en France depuis les années 90 comme une secte. En octobre 2013, deux structures parisiennes de la scientologie avaient même été condamnées pour escroquerie en bande organisée, recel aggravé et extorsion.

Pour Code source, deux journalistes du Parisien, Gwenael Bourdon, du service économie, et Anthony Lieures, de l’édition de Seine-Saint-Denis, reviennent sur l’histoire de la scientologie et sur son implantation polémique à Paris.

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Le 17 juin 1994, près de 100 millions d’Américains regardent à la télé le cinquième match de la finale NBA qui oppose les New York Knicks au Houston Rockets. Mais alors que les Knicks mènent 45 à 36, la diffusion du match est brusquement interrompue pour laisser place à une course-poursuite entre un 4X4 Ford Bronco blanc, suivi d’un convoi de voitures de police, sur l’autoroute de Los Angeles. A bord du 4X4 se trouve un homme de 46 ans, suspecté d’avoir assassiné son ex-femme cinq jours plus tôt. Il s’appelle O.J. Simpson.

Les téléspectateurs le connaissent bien. Il est même l’une des personnalités les plus populaires aux États-Unis. A la fin des années 60, il devient une icône du football américain. Avec les Buffalo Bills, il bat tous les records et en 1973 il est même élu meilleur joueur de la saison. En parallèle de sa carrière, il pousse aussi les portes d’Hollywood, devient l’égérie d’Hertz et devient une voix incontournable du sport américain à la télévision.

A l’occasion de l’annonce de sa mort, emporté par un cancer de la prostate à l’âge de 76 ans le 10 avril dernier, Code source retrace son parcours avec Loïc Pialat, correspondant du Parisien et de Radio France à Los Angeles.

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La chanteuse Lorie est connue pour avoir vendu des millions d'albums. Mais en parallèle de sa carrière, la chanteuse phare des années 2000 souffrait terriblement à cause d’une maladie qui était encore méconnue il y quelques années, l’endométriose, qui touche près de 10% des femmes en France.

Une vingtaine d’années plus tard, à 41 ans, la chanteuse Lorie Pester décide de sortir un livre, « Revivre », publié le 21 mars aux éditions Robert Laffont, où elle retrace son combat contre l’endométriose, cette maladie inflammatoire incurable de l’utérus. Pendant des années, elle a dû vivre au quotidien avec de vives douleurs, qui ont finalement pris fin en 2021, quand elle a pris la difficile décision de se faire retirer l’utérus.

Lorie Pester raconte son combat contre l’endométriose au micro d’Ambre Rosala.

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A 100 jours de l’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques, les transports en commun d’Île-de-France font l’objet de nombreuses interrogations et notamment celle-ci : les bus, tram, métros et RER franciliens vont-ils pouvoir acheminer sans difficulté les millions de spectateurs attendus pendant les Jeux ?

Dans son dossier de candidature pour l’organisation des JO, la ville de Paris s’était engagée à créer de nouvelles lignes et de moderniser des stations. Mais de nombreux usagers constatent que le service reste dégradé depuis la crise sanitaire du Covid-19 et qu’il est encore compliqué de se déplacer aux heures de pointe. 

Code source fait le point avec Sebastian Compagnon, journaliste au Parisien en charge des transports. 

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Le 12 mai 1949, Odette Pichard donne naissance à son premier enfant, Pierre-Alain. La grossesse s’est déroulée sans encombre sans encombre, mais l’accouchement est difficile. Quatre heures plus tard, les médecins reviennent dans sa chambre et lui annoncent que le bébé est décédé. Odette est sous le choc, elle n’a pas d’explications, et ne peut pas récupérer le corps de son bébé. 

Odette et son mari ont plusieurs enfants dans les années qui suivent, mais elle n’oublie jamais Pierre-Alain, et en parle régulièrement à ses enfants et ses petits-enfants, et notamment à sa petite fille Aude Denardaud, qui est avocate en droit de la famille. Ensemble, les deux femmes décident d’entamer une bataille judiciaire pour que le nom de Pierre-Alain soit inscrit dans le livret de famille d’Odette. 

Odette Pichard et Aude Denardaud témoignent au micro d’Ambre Rosala. 

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C’est l’un des premiers grands sites parisiens à être aménagés en prévision des Jeux olympiques. La place de la Concorde doit accueillir plusieurs épreuves de sports urbains comme le BMX Freestyle et le skateboard. Elle sera complètement fermée à la circulation à partir du 1er juin et en janvier dernier, la maire de Paris Anne Hidalgo a annoncé qu’elle resterait en partie piétonne après les Jeux.

Ce n’est pas la première fois que la piétonnisation de la place de la Concorde est évoquée. Cette fois-ci, les réactions ont été plutôt favorables, mais des questions persistent sur ce que va devenir ce site qui fait l’objet de nombreux débats depuis le 18e siècle.

Pour Code source, Pauline Darvey, journaliste à l’édition de Paris du Parisien revient sur l’histoire mouvementée de la plus grande place de la capitale. 

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Adeline Toniutti s’est fait connaître du grand public en devenant la professeure de chant du télé-crochet à succès de TF1, “Star Academy”. Devant l’écran de télévision, difficile de se douter qu’Adeline Toniutti n’arrivait plus à chanter une seule note quelques années plus tôt. À 34 ans, elle retrace son parcours dans son livre Incandescente pour toujours(Éditions du Rocher), sorti le 3 avril.

Elle y raconte comment elle a vu sa carrière de chanteuse d’opéra s’envoler à la suite d’un accident domestique qui lui a fait perdre sa voix, et les violences conjugales qu’elle a subies. Après une opération des cordes vocales et beaucoup de travail, elle est parvenue à sortir en mars son premier mini-album, « J’ai le soleil sur le nez ». 

Adeline Toniutti témoigne au micro de Barbara Gouy.

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L’Etat doit se serrer la ceinture. C’est en substance l’alerte lancée par Bercy depuis le début de l’année. Le ministère de l’Economie a assuré le mercredi 10 avril que dix milliards d’euros d’économies supplémentaires devront être réalisées cette année, en plus des dix milliards d’euros déjà annoncés en février par le ministre Bruno Le Maire. Au total, l'État veut donc réduire ses dépenses de 20 milliards d’euros en 2024.

Ces annonces sonnent définitivement la fin des coups de pouce aux ménages et aux entreprises qui ont été accordées ces dernières années. Si elles ont permis de maintenir l’économie à flots pendant l’épidémie de Covid-19 à partir de 2020, ou encore après la crise énergétique liée à l’invasion de l’Ukraine en 2022, ces dépenses ont aussi vidé les caisses de l’Etat. Les économies annoncées devraient permettre au gouvernement de maintenir sa trajectoire prévisionnelle d'un déficit public à 5,1% du PIB en 2024.

Dans Code source, deux journalistes du service économie du Parisien, Erwan Benezet et Sébastien Lernould, reviennent sur les raisons de ces mesures.

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Le vendredi 26 juillet 2024, à partir de 9h30, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris devrait se dérouler au centre de la capitale, sur et aux abords de la Seine. ll est prévu que plus de 10 000 athlètes défilent sur le fleuve en bateau.

Le défi est colossal. Un dispositif de sécurité inédit doit être mis en place, nécessitant une collaboration entre les organisateurs et les autorités. Confrontés à une série d’obstacles sécuritaires, les organisateurs de la cérémonie ont dû faire de nombreux compromis, dont celui de drastiquement réduire la jauge de spectateurs.

Pour Code source, trois journalistes du Parisien, Sandrine Lefèbvre et Romain Baheux du service des sports, et Pauline Darvey de l’édition de Paris, reviennent sur cette cérémonie d’ampleur.

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Le 22 mars, la mère de Lina lance un appel à témoins lors d’une conférence de presse. A ce moment-là, cela fait 6 mois que sa fille a disparu et qu’une enquête a été ouverte pour « enlèvement et séquestration ». Fanny Groll souhaite que les recherches s’accélèrent et invite toute personne qui aurait des informations sur la disparition de sa fille à se signaler.

L'adolescente de 15 ans a disparu le 23 septembre dernier en moins de 5 minutes, alors qu’elle se rendait à pied à la gare de Saint-Blaise-la-Roche (Bas-Rhin), à quelques kilomètres de chez elle. Rapidement, la piste d’un enlèvement est privilégiée, et des perquisitions sont menées. Fin mars, trois personnes ont été placées en garde à vue,puis libérées.

Pour Code source, Louise Colcombet, journaliste au service police-justice du Parisien fait le point sur l’enquête sur la disparition de Lina. 

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Le 7 octobre 2023, vers 6 heures du matin, Laura Blajman-Kadar se trouve dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël, où a lieu le festival de musique Tribe of Nova. Cette Franco-Israélienne de 35 ans, organisatrice de festivals, sort de sa caravane pour lacer ses chaussures quand elle entend le bruit de plusieurs roquettes tirées depuis la bande de Gaza.

Peu après, des terroristes du Hamas arrivent sur le site du festival, et Laura décide de se cacher avec son mari et des amis dans la caravane. Ils y restent pendant de longues heures et entendent les terroristes tirer sur les festivaliers à quelques mètres d’eux, avant d’être libérés par l’armée israélienne. Le 21 mars dernier, Laura a publié son témoignage dans un livre, « Croire en la vie » (Ed. Robert Laffont). 

Elle témoigne au micro d’Ambre Rosala.

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Le 24 février, alors que le Salon de l’agriculture ouvre ses portes à Paris, un syndicat agricole, la Confédération Paysanne, organise un coup d’éclat visant le géant industriel français Lactalis. En pleine crise du monde agricole, les manifestants déversent du fumier sur le stand du groupe, présent dans les allées du parc des expositions, porte de Versailles. L’objectif : dénoncer les pratiques du géant de l’industrie laitière et réclamer une meilleure rémunération pour les éleveurs.

Ce n’est pas la première fois que Lactalis se retrouve pointé du doigt. Depuis plusieurs années, cette multinationale est régulièrement accusée de pratiquer des prix trop bas, au détriment des éleveurs laitiers. Elle a aussi été condamnée à plusieurs reprises pour la pollution de rivières à proximité de ses usines et aujourd’hui, elle est soupçonnée de fraude fiscale. Dans le cadre de cette enquête, le 6 février dernier, le siège de Lactalis a ainsi été perquisitionné.

Pour Code source, Gwenael Bourdon, journaliste au service économie du Parisien, raconte comment une petite laiterie créée en 1933 à Laval en Mayenne est devenue le numéro un mondial des produits laitiers, tout en s’attirant de nombreuses critiques.

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Beata Umubyeyi Mairesse voit le jour en 1979 à Butare, une ville située au sud du Rwanda. C’est une petite fille métisse, née d’une union entre un polonais et une rwandaise. Enfant, elle grandit seule avec sa mère qui fait partie de la minorité Tutsi, qui représente environ 12% de la population rwandaise, au début des années 1990.

Mais le 6 avril 1994, la vie de Beata bascule. Ce jour-là, le président rwandais Juvénal Habyarimana est tué à bord d’un avion. Dans les jours qui suivent, des massacres débutent dans le nord du pays. Entre avril et juillet 1994, entre 800 000 et un million d’hommes, de femmes et d’enfants sont exterminés au Rwanda pour la seule raison qu’ils étaient Tutsi.

Dans « Le Convoi », publié en janvier 2024 aux éditions Flammarion, Beata Umubyeyi Mairesse raconte comment elle a échappé au génocide, grâce à un convoi humanitaire suisse de l'ONG « Terre des hommes ». Pour Code source, elle raconte son histoire au micro d’Emma Jacob.

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Le 18 mars s’ouvre le procès de Salim Berrada devant la cour criminelle de Paris. Ce Marocain de 38 ans est accusé de quatre agressions sexuelles « par personne abusant de son autorité » et de treize viols, commis entre 2014 et 2016. Dans la salle d’audience, une dizaine de femmes sont assises sur le banc des parties civiles, toutes victimes de celui que l’on surnomme aujourd’hui « le violeur de Tinder ».

Au moment des faits, elles avaient entre 18 et 26 ans et s’étaient rendues au domicile de Salim Berrada, dans le XXe arrondissement de Paris, pour un shooting photo. A la barre, elles décrivent le même mode opératoire : quelques verres d’alcool qui leur font perdre pied, certaines soupçonnent même avoir été droguées, puis soudain, Salim Berrada devient brutal et leur impose des relations sexuelles malgré leur refus répétés. Condamné à 18 ans de réclusion criminelle en première instance, le photographe a depuis fait appel.

Pour Code source, deux journalistes du service police-justice du Parisien, Pascale Egré et Clara Seren-Rosso, retracent le procès du « violeur de Tinder ».

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Le 12 mars, au tribunal correctionnel de Paris s’ouvre le procès de Leïla B., une jeune femme de 21 ans jugée pour « association de malfaiteurs terroristes en vue de la préparation de plusieurs crimes ». Cachée derrière ses longs cheveux bruns et engoncée dans sa doudoune noire, elle est complètement mutique.

Lorsqu’elle est interpellée à son domicile dans le quartier de la Devèze à Béziers (Hérault) en avril 2021, elle s'apprête à attaquer au sabre les fidèles d’une église, le jour de Pâques. Dans la chambre de Leïla B., les enquêteurs découvrent un couteau de cuisine de 30 centimètres posé sur sa table de nuit, des photos de décapitation de Samuel Paty, de combattants du jihad ou encore des attentats du 11 septembre 2001.

Clara Seren-Rosso, journaliste au service police-justice du Parisien, a assisté à l’audience. Pour Code source, elle raconte la dérive d’une adolescente livrée à elle-même, fascinée par l’ultra-violence.

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C’est la fin de tout espoir pour ses parents. Dimanche 31 mars, le parquet d’Aix-en-Provence a annoncé que des ossements appartenant au petit Émile ont été retrouvés par une randonneuse à proximité du lieu de sa disparition, le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence). 

La découverte du crâne du petit garçon relance aujourd’hui l’enquête pour tenter de déterminer la cause de sa mort. Mais elle pose de nouvelles questions : les gendarmes ont-ils pu passer à côté des ossements sans les voir ? Quelqu’un les a-t-il déposés récemment, ou bien ont-ils été déplacés par une cause naturelle ? 

Code source fait le point sur l’enquête avec Damien Delseny, chef du service police justice du Parisien, et Eve Chancel, notre envoyée spéciale au Vernet. 

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Le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, plusieurs députés de différents bords politiques présentent une proposition de loi devant une assemblée de mères de famille monoparentale, réunies au palais Bourbon. L’objectif : créer un « statut du parent isolé » et assurer des droits à celui-ci. Une carte « famille monoparentale », qui donnerait droit à des réductions pour les transports ou les loisirs, est aussi à l’étude.

Aujourd’hui en France, 25% des familles sont monoparentales et dans l’écrasante majorité des cas on retrouve à leur tête des femmes. Ces mamans solos sont plus durement touchées par la précarité que les hommes. 40 % d’entre elles vivent sous le seuil de pauvreté. Longtemps invisibilisées, les mères célibataires sont parvenues ces dernières années à faire entendre leurs revendications, notamment à l’occasion de la crise de Gilets jaunes fin 2018, frappées de plein fouet par la baisse du pouvoir d’achat.

Code source fait le point sur ce sujet, aujourd’hui, avec deux journalistes du Parisien : Christine Mateus, en charge des femmes et de leurs combats, et Bérangère Lepetit, qui suit notamment La Famille et la petite enfance, au sein du service société. 

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Qui aurait cru qu’un clash entre la chanteuse Natasha St-Pier et l’humoriste Inès Reg susciterait autant d’émoi ? Depuis quelques jours, la dispute entre les deux candidates de la treizième saison de l’émission de divertissement de TF1, « Danse avec les stars » prend des proportions inédites sur les réseaux sociaux et dans les coulisses du show.

Que sait-on vraiment ? Natasha St-Pier, qui aurait lâché une insulte à Inès Reg, se défend de l’avoir fait sur le ton de l’humour. Mais la canadienne a ensuite déposé une main courante contre sa rivale dans la compétition. Aujourd’hui, leurs versions font débat et il est difficile de savoir ce qu’il s’est réellement passé. Mais TF1 s’inquiète de l'ampleur que prend cette affaire.

Pour Code source, les journalistes du service loisirs et culture du Parisien, Kevin Boucher et Marie Poussel, reviennent sur ce différend entre les deux candidates.

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Le 20 mars, le premier film de Christine Angot, « Une Famille », sort en salles. A 65 ans, l’écrivaine choisit le format documentaire pour revenir sur l’un des sujets majeurs de son oeuvre littéraire : l’inceste. A travers des conversations avec ses proches, elle affronte le traumatisme qu’elle a subi adolescente, violée à de multiples reprises par son père, aujourd’hui décédé. Elle questionne sa famille sur leur déni, leur silence ou encore leur impuissance.

Au début des années 80, Christine Angot a 23 ans quand elle commence à écrire ses premiers romans. Mais ses premiers livres ont peu d’écho et ils font peu de ventes. Il faut attendre 1999 et son septième roman intitulé « L’inceste », pour la voir enfin éclore sur la scène littéraire et médiatique. Un sujet qu’elle ne cessera d’aborder ensuite dans ses livres ainsi que sur les plateaux de télévision en tant que chroniqueuse, quitte à être détestée et rejetée par une partie du public.

Pour Code source, deux journalistes du service culture du Parisien, Yves Jaeglé et Catherine Balle, reviennent sur le parcours de Christine Angot.

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Du lundi 25 au dimanche 31 mars, des centaines de podcasts francophones, dont Code source, participent à la deuxième édition du Podcasthon. Cette initiative inspirée du Téléthon vise à mettre en avant une association.

Cette année, nous avons choisi d’évoquer l’association « La Voix des Migraineux », à travers le témoignage de l’une de ses membres. Morgane Rivera-Vargas, 33 ans, qui vit avec la migraine depuis plus de 10 ans. Cette maladie neurologique ne se soigne jamais complètement, Morgane a donc mis beaucoup de temps à trouver le traitement et le mode de vie qui lui permettent d’endurer ses crises.

Elle témoigne au micro d’Ambre Rosala. 

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C’est un ensemble imposant aux façades blanches, situé en bordure du gave de Pau, dans le Béarn. Notre-Dame de Bétharram, de son ancien nom, est aujourd’hui un groupe scolaire privé et catholique qui accueille des élèves de la maternelle au lycée.

Mais pendant près de deux siècles, l’institution religieuse se destinait à l’enseignement aux des jeunes garçons au collège et au lycée. Un établissement réputé pour ses excellents résultats, mais aussi connu pendant longtemps pour la discipline de fer qui y régnait.

En février dernier, 33 anciens élèves ont porté plainte pour des faits de violences physiques et sexuelles. Des décennies après leur passage à Bétharram, certains se disent encore marqués par la violence gratuite et disproportionnée qu’ils ont subi de la part des adultes.

Outre les punitions arbitraires, plusieurs témoignages font état d’abus sexuels et de viols commis par des surveillants. À la fin des années 1990, un ecclésiastique qui avait dirigé l’institution avait lui-même été mis en examen pour viol.

Cet épisode de Code source est raconté par Timothée Boutry, journaliste au service police-justice du Parisien.

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Le Grand Palais est en pleine rénovation. Depuis 2021, l’édifice parisien situé entre les Champs-Elysées et la Seine subit d’importants travaux qui vont bientôt prendre fin. Le chantier de l’immense verrière qui surplombe l’ensemble est désormais achevé. Dès 2025, le public va pouvoir profiter d’un grand espace couvert de 3000 mètres carrés accessible gratuitement.

Avant cela, le site doit accueillir des épreuves des Jeux olympiques et paralympiques de juillet à septembre. Il retrouvera intégralement ses visiteurs en 2026 avec la réouverture du Palais de la découverte. C’est l’aboutissement de plusieurs années de réflexions et de projets avortés pour tenter de donner un second souffle à ce lieu emblématique.

Code source fait le point sur ces travaux et retrace l’histoire du Grand Palais avec Pauline Darvey, journaliste au Parisien à l’édition de Paris.

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Avec plus de 1500 restaurants sur son territoire, la France est le deuxième marché mondial de McDonald’s juste derrière les Etats-Unis. Chaque année, l’enseigne américaine y ouvre entre 30 et 50 nouveaux établissements.

Si McDo a autant de succès en France depuis l’ouverture du premier restaurant dans les années 1970, c’est notamment parce que l’entreprise s’est adaptée au marché français, par exemple en mettant en place le service à table, en ouvrant des McCafé, et en introduisant dans ses burgers des fromages régionaux comme le bleu ou la raclette. Résultat, les français sont nombreux à fréquenter McDo en famille, et l’enseigne commence à s’intéresser à des communes de plus en plus petites.

Cet épisode de Code source est raconté par Gwenaël Bourdon, journaliste au service économie du Parisien.

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Depuis 10 ans, Camille Lellouche déploie ses talents sur scène, en concert, et sur les réseaux sociaux. Elle a remporté une Victoire de la musique en 2021pour une chanson écrite en duo avec Grand Corps Malade, et depuis le mois de février, elle est coach dans l’émission «The Voice » sur TF1.

Mais ses débuts ont été difficiles. Camille Lellouche a passé une dizaine d’années à travailler comme serveuse dans un restaurant en rêvant d’une carrière artistique. Elle a développé une addiction à l’alcool et elle a été victime de violences de la part de son petit ami quand elle était adolescente. En 2022, elle a donné naissance à sa fille, Alma, et aujourd’hui, à 37 ans, elle raconte ce parcours parfois chaotique dans un livre autobiographique,« Tout te dire » sorti chez Stock le 6 mars dernier. 

Camille Lellouche témoigne au micro de Barbara Gouy. 

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En 2023, 49 morts sont dues aux règlements de comptes incessants à Marseille liés à la drogue, d’après la justice. La plupart de ces morts sont l'œuvre de deux principaux gangs : la DZ Mafia et le Clan Yoda, qui visent en particulier les petites mains du gang ennemi.

Felix Bingui, le chef du clan Yoda a pris en puissance pendant la pandémie du Covid-19, ce qui n’a pas plus à Mehdi Abdelatif Laribi, le chef de la DZ Mafia, qui se trouvait en prison à ce moment-là. Leur rivalité grandissante n’a fait qu’augmenter la fréquence des règlements de compte entre ces deux gangs.

Pour Code source les journalistes du Parisien au service Police/Justice, Vincent Gautronneau et Jean-Michel Décugis, reviennent sur ces règlements de compte entre la DZ Mafia et le Clan Yoda à Marseille. 

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Le dimanche 10 mars, le palais de Kensington publie une photo de Kate Middleton entourée par ses trois enfants sur les réseaux sociaux. Dans les heures qui suivent, de nombreux internautes détectent des anomalies et se demandent si la photo est authentique. Dans la foulée, plusieurs agences de presse décident de ne pas diffuser la photo.

Celle qui est surnommée « Perfect Kate » n’est pas habituée aux faux pas. Depuis son mariage avec le prince William en 2011, elle est appréciée par les Britanniques et participe régulièrement aux évènements officiels. Mais Kate Middleton n’a pas été vue en public depuis Noël dernier, suite à une opération chirurgicale. Cette publication, censée rassurer sur son état de santé, n'a fait que relancer les rumeurs.

Pour Code source, Delphine Kargayan, correspondante du Parisien à Londres, retrace le parcours de Kate Middleton.

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Le 13 mars, le propriétaire du groupe Canal+, Vincent Bolloré, est auditionné par la commission d'enquête chargée de l'attribution des fréquences de la TNT. Durant plus de deux heures, face aux députés de la commission, il a défendu son groupe et particulièrement sa chaîne d’info, CNews, qui s’est retrouvée au cœur de plusieurs polémiques. Récemment lors d’une émission, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) a été présentée comme la « première cause de mortalité dans le monde », provoquant une pluie d’indignations, notamment en interne.

La chaîne d’info, autrefois connue sous le nom d’iTélé puis rebaptisée CNews en février 2017, est devenue en l’espace de quelques années l’une des plus regardées de France. En décembre, elle s’est même retrouvée leader en part d'audience pendant plusieurs journées de suite. Mais elle est aussi la chaîne qui a concentré le plus de critiques, accusée de donner trop de place aux idées d’extrême-droite et d’être devenue une chaîne d’opinion.

Pour Code source, deux journalistes du service culture du Parisien, Benoît Daragon et Benjamin Meffre, spécialistes des médias, reviennent sur l'évolution de CNews.

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Le 1er octobre, un jeune homme de 25 ans, Lucas, meurt dans le service des urgences de l’hôpital d’Hyères, dans le Var. Il souffrait d’une septicémie, mais elle n’a pas été diagnostiquée à temps par le personnel soignant. Son histoire illustre la crise que traversent les urgences, racontée dans un dossier du Parisien, publié le 28 janvier.

Mais le 25 février, un autre événement dramatique a secoué les urgences. Une femme de 85 ans est retrouvée morte dans un conteneur à ordures de l'hôpital d'Aix-en-Provence. Elle s’était rendue aux urgences à la suite d'une crise de démence et avait disparu pendant deux jours, avant que son corps ne soit retrouvé.

Pour Code source, Elsa Mari, du service société du Parisien, spécialiste santé pendant 7 ans, et Nicolas Berrod, qui suit aujourd’hui ces questions au sein du service Futurs, reviennent sur la crise que traversent les urgences depuis des années.

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Le 4 mars s’ouvre à Paris le procès de 9 personnes, accusées d’avoir participé à une boutique en ligne baptisée « la Genèverie », qui vendait sur internet des montres de luxe et des bijoux contrefaits ou encore des faux documents d’identité. Sur le banc des accusés, on retrouve plusieurs escrocs dont un certain Anthony P., qui se faisait aussi appeler « Volrys ».

En l’espace de quelques années, cet homme de 28 ans, originaire du Territoire de Belfort, est devenu l’une des références dans le milieu des faux papiers. Passionné d’informatique, il se fait embaucher après ses études par une grosse entreprise pour assurer la sécurité informatique. Mais à partir de l’année 2019, il va décider de mettre ses aptitudes au profit d’une autre activité : la fabrication et la vente de faux papiers d’identité.

Cet épisode de Code source est raconté par Nicolas Jacquard, du service police justice du Parisien.

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En avril 2020, alors que la France est confinée pour la première fois, Patrice Dupas veut rendre visite à son père atteint d’un cancer en phase terminale. Mais un gendarme lui interdit de franchir la barrière de contrôle à l’entrée de l’île de Ré, et ce malgré le motif impérieux qui autorise Patrice à venir d e loin ce jour-là. Il n’a donc pas pu dire adieu à son père. Claude Dupas est décédé le 7 avril 2020 à 83 ans.

Près de quatre ans après cet empêchement traumatisant pour lui, Patrice Dupas a fini par obtenir gain de cause. Le 23 décembre 2023, il a fait condamner l’Etat pour faute lourde.

Pour Code source, il témoigne au micro d’Ambre Rosala.

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Le lundi 26 février, lors d’une conférence de presse à Paris, Emmanuel Macron a pour la première fois estimé que l’envoi de troupes occidentales en Ukraine ne devait « pas être exclu ». 

En faisant cette déclaration, le président marque un nouveau tournant dans ses rapports avec Vladimir Poutine. Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, se refusait à le vouer aux gémonies, et encore plus à le menacer ouvertement.

Alors que les deux hommes d’Etat étaient régulièrement en contact au début de la guerre en Ukraine, les échanges entre le président français et son homologue russe continuent de se durcir pendant que le conflit s’enlise.

Dans Code source, Henri Vernet, du service politique du Parisien, et Charles de Saint-Sauveur, chef du service international, retracent l’évolution des rapports entre le président français et le maître du Kremlin.

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Le 31 janvier, le magazine Elle publie une enquête sur le psychanalyste Gérard Miller. Dans cet article, plusieurs femmes l’accusent de viols et d’agressions sexuelles, lors de séances d'hypnose organisées chez lui à Paris, dans son hôtel particulier. Dans la foulée, des dizaines d’autres femmes racontent à l’hebdomadaire avoir été victimes elles aussi de Gérard Miller. D’autres enquêtes, réalisées par Mediapart et Envoyé spécial, le magazine d’investigation de France 2, sont dévoilées, avec des témoignages accablants.

Depuis, celui qui avait pourtant l’habitude d’écumer les plateaux télé se fait discret et clame son innocence. Longtemps, Gérard Miller a été le psy le plus médiatique de France. A partir des années 90, il est régulièrement invité par différents médias et devient notamment l’un des chroniqueurs phares de Laurent Ruquier sur France 2, France Inter, et Europe 1. Dans les années qui suivent, il se rapproche aussi de Jean-Luc Mélenchon et de La France insoumise. 

Pour Code source, trois journalistes du Parisien, Benoît Daragon, spécialiste médias au service culture, et Louise Colcombet et Jean-Michel Décugis, du service police justice, reviennent sur l’affaire Gérard Miller.

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Hakan Marty a 3 mois quand il est placé en pouponnière, car sa mère n’est pas en mesure de s’occuper de lui. Quand il a un an et demi, il est placé par l’Aide sociale à l’enfance chez la famille Raquin, une famille d’accueil qui a pris en charge sa propre mère quand elle était mineure.

Dans cette famille, Hakan est maltraité, physiquement et psychologiquement, mais il est tellement attaché aux Raquin qu’il pense que c’est normal. Quand il a 15 ans, sa famille décide d’arrêter d’accueillir les enfants placés, et Hakan intègre un foyer. Il fait la connaissance d’éducateurs bienveillants et découvre la liberté de pouvoir manger ce qu’il veut, et de sortir quand il en a envie.

Hakan Marty a raconté son histoire dans le livre « Enfant mal placé » (Editions Max Milo). Il témoigne au micro d’Ambre Rosala.

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Le dimanche 11 février, à 19 heures, un match de basket de première division oppose le Paris Basketball au club de Saint-Quentin. La rencontre a lieu à l’Adidas Arena, une toute nouvelle enceinte de 9000 places construite au cœur du quartier de la Chapelle, dans le nord de Paris, et inaugurée le jour-même par la maire de Paris, Anne Hidalgo.

L’Adidas Arena est au centre du plus grand projet de transformation urbaine que la ville ait connu ces vingt dernières années. En janvier 2020, la maire de Paris prenait un engagement devant les habitants du quartier : profiter des JO de 2024 pour accélérer la rénovation de la Porte de la Chapelle, afin d’en faire « le futur Champs-Élysées du nord de Paris ». Car depuis des années, ce quartier est gangrené par le trafic de drogue, la pauvreté et l’insécurité.

Quatre ans plus tard, où en est la promesse de la maire de Paris ? Code source fait le point avec deux journalistes de l’édition de Paris, Paul Abran et Pauline Darvey.

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Le 4 mars, les parlementaires réunis en Congrès au château de Versailles  ont voté l’inscription dans la Constitution de l’interruption volontaire de grossesse (IVG).

Le débat avait été lancé en France en 2018, et les efforts pour parvenir à une constitutionnalisation de l’IVG se sont intensifiés alors que le droit à l’avortement était attaqué dans plusieurs pays, notamment aux Etats-Unis. Après des mois de négociation et plusieurs propositions de loi, le Sénat a fini par se prononcer en faveur de l’inscription dans la Constitution de la « liberté garantie à la femme de recourir à l’IVG » le 28 février dernier, ouvrant la voie au vote des parlementaires à Versailles.

Cet épisode de Code source est raconté par Quentin Laurent, journaliste au service politique du Parisien, et Christine Mateus, journaliste au service société.

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Le XV de France continue de décevoir. Après une défaite, un nul et une victoire, les rugbymen français commencent mal le Tournoi des Six Nations. Les choix stratégiques du sélectionneur Fabien Galthié sont critiqués et des doutes persistent sur sa capacité à mener les Bleus jusqu’à la victoire de la Coupe du monde en 2027.

Lors de la dernière Coupe de monde de Rugby, organisée par la France en 2023, c’était déjà la désillusion pour le XV de France. L’équipe avait perdu face aux champions en titre, les sud-africains, pendant les quarts de finale, alors qu’ils partaient favoris lors de cette compétition à domicile.

Pour Code source, deux journalistes du service des sports du Parisien, spécialistes rugby, Jean-Gabriel Bontinck et Clément Dossin, reviennent sur la crise du XV de France.

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Il y a vingt-cinq ans, l’arrivée d’un nouvel opérateur sur le marché français des télécoms bousculait ce secteur bien établi. Avec son haut débit à des prix très compétitifs, puis son offre de téléphonie tout aussi concurrentielle, Free a séduit des millions de consommateurs.

Son fondateur Xavier Niel est un ancien pirate informatique. Sans diplôme, il a commencé à gagner beaucoup d’argent dans les années 1990 grâce au minitel rose. En 2004, il a passé un mois en détention provisoire à la prison de la Santé à Paris, dans une ancienne affaire d’abus de biens sociaux. Aujourd’hui, Xavier Niel est milliardaire, dixième fortune de France.

Code source retrace ce parcours hors du commun avec Aurélie Lebelle, journaliste au service économie du Parisien. 

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Le 21 décembre dernier, la chaîne Arte met en ligne sur son site « Icon of French Cinema », une mini-série de 6 épisodes écrite et réalisée par Judith Godrèche. Dans cette fiction, largement inspirée de sa vie d’actrice, on suit une ancienne icône du cinéma français exilée à Los Angeles, qui revient à Paris pour relancer sa carrière en France. Une œuvre largement autobiographique, entrecoupée de flashbacks de ses débuts où, alors très jeune adolescente, elle se retrouve sous la coupe d’Eric, un réalisateur quadragénaire violent.

Dans les semaines qui suivent, des journalistes font le rapprochement entre ce personnage d’Eric et deux réalisateurs français, Benoît Jacquot et Jacques Doillon, avec qui Judith Godrèche a tourné à ses débuts. Dans un premier temps, elle refuse de le reconnaître publiquement. Puis, après un long cheminement, elle décide finalement de s’exprimer publiquement sur le sujet, avant de porter plainte début février contre Benoît Jacquot, pour « viols avec violences sur mineur de moins de 15 ans commis par personne ayant autorité ». 

Pour Code source, Catherine Balle et Renaud Baronian, journalistes spécialistes cinéma au service culture du Parisien, racontent le long cheminement de l’actrice qui lui a permis de dénoncer publiquement les réalisateurs Benoît Jacquot et Jacques Doillon.

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Alice a 16 ans quand elle fait la rencontre d’Henry. Il a 15 ans de plus qu’elle, et c’est le grand frère d’une de ses amies. Alice est rapidement impressionnée par son charisme, mais aussi par l’intensité avec laquelle il vit sa foi catholique, et 4 ans plus tard, ils se marient.

Mais une fois mariés, les choses changent : Henry est très colérique, et ne supporte pas qu’Alice s'adonne à des activités qu’il considère comme superflues. Au fil des années, le couple a 7 enfants, et Alice reste à la maison pour s’occuper d’eux. Henry, lui, est de plus en plus violent avec elle, et avec les enfants.  

Alice raconte son histoire au micro d’Ambre Rosala. Elle a également écrit un livre autobiographique, « Femmes, soyez soumises à vos maris », publié aux éditions Larousse. 

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Le jeudi 8 février, Kylian Mbappé annonce au président du Paris-Saint-Germain, Nasser al-Khelaïfi, qu’il quitte le club en juin prochain, à la fin de son contrat. Même si cette décision n’est pas une surprise, c’est une grande perte pour le club : l’attaquant de 25 ans est le meilleur buteur de l’histoire du PSG.

Kylian Mbappé est un enfant de Bondy. Être recruté au PSG était, pour lui, une chance immense. Mais après sept ans dans le même club et ses différends avec Nasser al-Khelaïfi, il veut à présent atteindre un autre de ses rêves : jouer au Réal Madrid, le graal européen. Même si aucune annonce n’a été faite, c’est sans doute avec ce club que le joueur foulera la pelouse la saison prochaine.

Pour Code source, deux journalistes du service des sports du Parisien, Benjamin Quarez et Dominique Sévérac, racontent les coulisses de la décision de Kylian Mbappé.

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Le lundi 8 janvier, TF1 lance « Bonjour ! La Matinale TF1 ». Le journaliste Bruce Toussaint, débauché en octobre dernier de BFM-TV, a pour mission de dynamiser la case du matin avec une émission d’humeur et d’information pour rivaliser avec France 2. 

Ce nouveau format, annoncé à la surprise générale, s’inscrit dans la stratégie du nouveau patron de la chaîne, Rodolphe Belmer, qui emploie les grands moyens pour que la Une reste leader dans le paysage audiovisuel français. La fuite du public vers les plateformes de streaming et les audiences puissantes réalisées des chaînes publiques fragilisent depuis quelques années la position dominante de TF1. Elle qui a pourtant besoin de cette assise pour pouvoir financer tous ses programmes.

Pour Code source, Kévin Boucher et Benoît Daragon, journalistes média au service Culture du Parisien, décryptent la nouvelle stratégie de TF1.

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Le 20 août 2020, Alexeï Navalny échappe de peu à la mort, après avoir été empoisonné par les services de renseignements russes. Après une longue période de convalescence en Allemagne, il revient en Russie le 17 janvier 2021, où il est arrêté dès sa descente de l’avion. Condamné à plusieurs peines d’emprisonnement, dont une de 19 ans pour « extrémisme », il meurt trois ans plus tard, le 16 février 2024, dans une colonie pénitentiaire de l’Arctique russe.

Alexeï Navalny avait consacré sa vie à combattre Vladimir Poutine, en faisant de la lutte contre la corruption son obsession. En 2011, au lendemain des élections législatives truquées, il émerge comme l’un des principaux opposants politiques du Kremlin. Après sa deuxième place aux élections municipales de Moscou l’année suivante, il devient même l’adversaire numéro 1 de Vladimir Poutine. Mais dans les années suivantes, il est violemment réprimé par le pouvoir, il multiplie les séjours en prison et se retrouve privé de participation aux élections.

A l’occasion de l’annonce de sa mort, Code source retrace le parcours d’Alexeï Navalny avec Paul Gogo, correspondant à Moscou depuis 7 ans pour différents médias dont Ouest France et Le Parisien. Paul Gogo vient de publier son premier livre aux éditions du Rocher, intitulé « Opération spéciale : dix ans de guerre entre Russie et Ukraine », dans lequel il raconte son expérience de reporter entre le Donbass et Moscou, de la révolution de Maïdan en 2013 à l’invasion russe en 2022.

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo et Barbara Gouy - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : INA, France 2, Youtube, France 3, LCI, Arte, AFP.

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Le 13 février dernier, Le Parisien publie une enquête sur une entreprise née en 2001 aux États-Unis, baptisée « Unicity ». Cette société vend et promeut des compléments alimentaires sous forme de poudre ou de comprimés présentés comme miraculeux, qui permettraient d’être en meilleure santé voire même de « traiter les cellules cancérigènes ». Mais pour acquérir ces produits « miracles », il y a une subtilité. 

Les clients ne peuvent pas les acheter directement auprès d’Unicity. Ils doivent passer par un vendeur intermédiaire qui touche au passage une commission à chaque vente. C’est le principe du marketing de réseau. Un système légal en France mais qui reste très controversé. Plusieurs anciens vendeurs d’Unicity s’attaquent aujourd’hui à l’entreprise, en dénonçant les méthodes pratiquées en interne.

Cet épisode de Code source est raconté par la journaliste qui a signé cette enquête, Paméla Rougerie, du pôle Actualité du Parisien.

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Aurélie Godard a 42 ans, et elle est médecin anesthésiste et réanimatrice dans un hôpital de Haute-Savoie. En 2012, elle décide de s’investir dans l’association humanitaire Médecins sans frontières, et elle enchaîne les missions.

En janvier dernier, Aurélie accepte de partir en mission dans la bande de Gaza. L’enclave palestinienne est la cible de violents bombardements israéliens depuis les massacres perpétrés par le Hamas en Israël le 7 octobre dernier, et au fil des semaines, la crise humanitaire s’est aggravée. A son arrivée dans la bande de Gaza, Aurélie soigne d’abord des patients à Rafah, dans le sud de l’enclave, avant de réussir à se rendre dans le nord du territoire, une région dévastée et quasi impossible d’accès.

Aurélie Godard raconte la crise humanitaire en cours à Gaza au micro d’Ambre Rosala.

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Le 16 février dernier, la justice a condamné un ancien chef d’entreprise et son ex-employée à 5 et 3 ans de prison dans l’affaire de la fausse cellule terroriste AZF. En 2004, ce groupe avait menacé de faire exploser des bombes le long de la voie ferrée, et réclamé plusieurs millions d’euros de rançon. 

L’histoire commence en décembre 2003, quand une lettre arrive à l’Elysée : un groupe qui se présente sous le nom de « AZF » prévient qu’il va bientôt passer à l’action. AZF envoie d’autres lettres au début de l’année 2004, dans lesquelles il affirme avoir posé des bombes artisanales sur le réseau de chemin de fer, et exige une rançon pour ne pas les faire exploser. Les autorités prennent l’affaire au sérieux, et tentent d’entrer en contact avec la cellule terroriste via les petites annonces du journal Libération. 

Pour Code source, Timothée Boutry et Clara Seren-Rosso, journalistes au service police justice du Parisien, reviennent sur l’affaire AZF.

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En décembre dernier, Taylor Swift est désignée personnalité de l’année par le magazine américain Time, succédant au président ukrainien Volodymyr Zelensky. La chanteuse américaine de 34 ans, actuellement en pleine tournée mondiale, fascine les américains. Elle est devenue en l’espace quelques années une icône mondiale de la pop avec 14 récompenses aux Grammy Awards, capable grâce à son aura de faire plier l’industrie musicale et même de peser sur les scrutins électoraux.

Pourtant, celle qui est originaire de Reading en Pennsylvanie ne faisait pas l’unanimité à ses débuts. Dès ses 16 ans, elle sort son premier album et devient une star de la musique country, un genre très populaire aux Etats-Unis mais peu plébiscité à l’étranger. Dénigrée par une partie du public, moquée par le rappeur Kanye West lors des Video Music Award en 2009, Taylor Swift a dû batailler pour s’imposer comme un phénomène mondial, en embrassant notamment un virage pop au début des années 2010.

Pour Code source, Eric Bureau, journaliste au service culture du Parisien et spécialiste musique, raconte à travers ses rencontres avec la star américaine son parcours.

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Jean-Yves Labrousse est le seul survivant de l’effroyable tuerie qui a décimé sa famille, en octobre 1983. À cette époque, c’est un adolescent de 15 ans qui vit dans l’Oise. Un soir, l’ancien petit ami de sa grande sœur décide de massacrer les cinq membres de la fratrie en pleine nuit.

Poignardé à l’abdomen, Jean-Yves s’en sort miraculeusement et parvient à dénoncer le meurtrier. Cet événement tragique reste gravé dans sa mémoire pendant des décennies. Des flashs lui font revivre cette nuit d’horreur. Lorsqu’il devient père à son tour, Jean-Yves Labrousse ne parle à ses enfants de son passé traumatisant. Jusqu’à ce que sa fille aînée Camille cherche à en savoir plus, il y a 5 ans. 

Cette confession d’un père à sa fille a donné lieu à un témoignage publié à l’automne dernier, L’écho des ombres, récit d’un survivant (Mareuil éditions).

Jean-Yves et Camille Labrousse ont accepté de raconter leur histoire dans Code source au micro d’Ambre Rosala.

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Un petit mois et puis s’en va… Le 11 janvier, Amélie Oudéa-Castéra se voit confier le portefeuille de l’Education, en plus du ministère des Sports qu’elle dirige depuis 2022. Une décision déplorée par les syndicats d’enseignants, pour qui il semble impossible de gérer à la fois les dossiers liés à l’école et la préparation des jeux olympiques de Paris.

Les explications mensongères de la ministre, après les révélations dans la presse sur ses trois enfants scolarisés dans un établissement privé d’élite et controversé à Paris, ont déclenché une série de polémiques. Le 8 février, elle perd la tête du ministère de l’Education nationale, remplacée par Nicole Belloubet.

Code source refait le film de cette séquence politique avec deux journalistes du Parisien, Olivier Beaumont du service politique, et Frédéric Gouaillard, spécialiste éducation.

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C’est une promesse de la mairie de Paris et des organisateurs des Jeux olympiques qui se tiendront dans la capitale cet été : plusieurs épreuves doivent pouvoir avoir lieu dans la Seine. 

Mais le traitement de l’eau du fleuve est délicat. Plusieurs tests menés en août 2023 n’ont pas été concluants et certaines épreuves qui devaient avoir lieu au niveau du pont Alexandre III ont été annulées à cause d’un taux de pollution trop important. Est-ce que les athlètes pourront plonger dans la Seine cet été ? Et au-delà, est-ce que les Parisiens pourront s’y baigner en 2025, comme promis par la maire de Paris, Anne Hidalgo ?

Cet épisode de Code source est raconté par Pauline Darvey et Paul Abran, journalistes de l’édition de Paris du Parisien.

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Robert Badinter est décédé dans la nuit du 8 au 9 février dernier, à l’âge de 95 ans. Dans la foulée, l’ensemble de la classe politique a salué sa mémoire, et Emmanuel Macron a annoncé qu’un hommage national serait rendu à l’ancien avocat et ministre de la Justice ce mercredi 14 février.

Robert Badinter se fait connaître du grand public en 1977 alors qu’il défend Patrick Henry, poursuivi pour le meurtre d’un petit garçon. Son réquisitoire est déjà un plaidoyer contre la peine de mort. Patrick Henry est condamné à la perpétuité et son avocat s’engage alors en politique, notamment aux côtés de personnalités de gauche. Le 17 septembre 1981, c’est en tant que ministre de la Justice de François Mitterand que Robert Badinter prononce un discours historique devant l’Assemblée nationale pour défendre l’abolition de la peine de mort. 

Code source revient sur le parcours de Robert Badinter avec Henri Vernet, journaliste au service politique du Parisien, qui l’a interviewé à plusieurs reprises. 

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(Suite et fin) Code source reçoit l’un des humoristes préférés des Français, Jérémy Ferrari, alors qu’il s'apprête à rejoindre le cercle fermé des comiques qui remplissent la mythique salle parisienne de Bercy. Le roi de l’humour noir doit clore la tournée de son troisième one-man-show, intitulé « Anesthésie générale » les 9 et 10 mars à l’Accord Arena, avant de remonter sur scène l’an prochain avec ses amis Arnaud Tsamere et Baptiste Lecaplain. 

Dans la dernière partie de cet entretien, l’humoriste raconte comment il vit son succès depuis son passage dans l’émission « On n’demande qu’à en rire ». Il se confie sur son combat contre l’addiction à l’alcool, et rend hommage à son ami et partenaire de scène Guillaume Bats, disparu en juin 2023.

Jérémy Ferrari répond aux questions de Jules Lavie, rédacteur en chef des podcasts, et Grégory Plouviez, spécialiste humour au service Culture du Parisien.

La première partie de cet entretien est disponible sur toutes les plateformes d’écoute etsur LeParisien.fr.

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Code source reçoit l’un des humoristes préférés des Français, Jérémy Ferrari, alors qu’il s'apprête à rejoindre le cercle fermé des comiques qui remplissent la mythique salle parisienne de Bercy. Le roi de l’humour noir, révélé dans une émission de Laurent Ruquier, doit clore la tournée de son troisième one-man-show, intitulé « Anesthésie générale » les 9 et 10 mars à l’Accord Arena, avant de remonter sur scène l’an prochain avec ses amis Arnaud Tsamere et Baptiste Lecaplain. 

(Première partie) Jérémy Ferrari se confie dans Code source sur sa carrière, sa façon de travailler pour écrire ses spectacles, et sur les addictions et les maladies invisibles dont il est atteint… Il répond aux questions de Jules Lavie, rédacteur en chef des podcasts, et Grégory Plouviez, spécialiste humour au service Culture du Parisien, dans un entretien en deux parties.

Dans ce premier épisode, l’humoriste raconte notamment ses débuts difficiles dans l’humour avant de se faire connaître par la télévision.

Retrouvez la seconde partie de cette interview à partir du lundi 12 février.

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Du 24 janvier au 2 février, Shamran Mehmood Raja, un pakistanais de 38 ans, a été jugé par la cour d’assises du Val-de-Marne pour le meurtre de Sandra, une jeune femme de 23 ans, en 2019.

À l’époque, cette jeune étudiante avait disparu mystérieusement d’une supérette Franprix, à Quincy-sous-Sénart dans l’Essonne. Après trois jours de vive inquiétude pour sa famille et ses amis, le corps de Sandra est retrouvé sans vie et ligoté dans le coffre de sa propre voiture.

Shamran Mahmood Raja, employé dans cette supérette, est le dernier a avoir vu la jeune femme vivante. Ses propos incohérents et son ADN retrouvés sur la victime en font rapidement le suspect numéro un. Il a écopé d’une peine de 20 ans de réclusion criminelle. Trois proches du meurtrier ont également été condamnés pour complicité.

Pour Code source, Denis Courtine, journaliste au service police-justice Île-de-France du Parisien, revient sur cette affaire qu’il a suivi depuis le début.

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Fanny est la dernière de 8 enfants et elle grandit au sein d’une famille catholique pratiquante, à côté de Lille (Nord). Petite fille, elle adore chanter, et se produit régulièrement le dimanche, pendant la messe. En 1991, quand elle a 16 ans, Fanny intègre la Maîtrise boréale, une chorale de jeunes dirigée par son professeur de musique, Bernard Dewagtère. 

La chorale devient l’une des plus prestigieuses du pays mais en coulisse, Bernard Dewagtère exerce une emprise sur les adolescentes de la chorale, allant même jusqu’à abuser de certaines d’entre elles, dont Fanny. Il y a quelques années, Fanny a porté plainte contre son ancien chef de chœur et aujourd’hui, l’homme de 65 ans est mis en examen pour “atteinte sexuelle” et “viol” commis par personne ayant autorité.

Fanny raconte ce qu’elle a vécu au sein de la Maîtrise boréale et son combat judiciaire au micro d’Ambre Rosala.

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Depuis sa création en 2018, la Fresque du climat connaît un succès fou.Cet atelier de sensibilisation au réchauffement climatique se fait sous la forme d’un jeu: les participants ont 3 heures pour relier 42 cartes entre elles et comprendre d’où viennent les émissions de CO2 par exemple… et quelles sont les solutions pour limiter les dégâts.

Inventé par un ingénieur français, Cédric Ringenbach, la Fresque du climat séduit jusqu’aux grands groupes comme Suez ou Orange, et le concept a été décliné dans 132 pays. Tout le monde peut devenir animateur et proposer des ateliers, gratuits pour les associations et les écoles, et payants pour les entreprises. 

Cet épisode de Code source est raconté par Aloïs Le Noan, un formateur qui anime plusieurs ateliers de la Fresque du climat pour les équipes du Parisien. 

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Pendant plusieurs décennies, l’amiante a été utilisé en France pour fabriquer des joints, des dalles, des canalisations, ou encore des plaques pour isoler les immeubles d’habitation et même des écoles. 

Mais dans les années 1970, cet isolant léger et bon marché est signalé comme un matériau dangereux et en 1997, il est interdit car ses fibres s’avèrent être cancérigènes. Elles peuvent provoquer de graves maladies, jusqu’à 40 ans après l’exposition. Depuis, la France peine à se débarrasser de l’amiante : le désamiantage est contraignant et il coûte cher. Pourtant, il devient urgent de le faire car l’amiante est encore aujourd’hui la deuxième cause de maladie professionnelle, et plusieurs milliers de personnes en meurent chaque année.

Cet épisode de Code source est raconté par deux journalistes du service Futurs du Parisien, Frédéric Mouchon, spécialiste environnement, et Elsa Mari, spécialiste santé. 

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Une nouvelle affaire aux allures de « L’arnaqueur de Tinder », ce documentaire à succès de Netflix sur qui révélait en 2022 le vrai visage d’un faux millionnaire israélien accusé d’avoir escroqué des dizaines de femmes via l’application de rencontre. Les faits se déroulent cette fois-ci en Île-de-France. Le 4 janvier, un homme de 40 ans prénommé Lesty a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire pour escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux.

Il multipliait les conquêtes, et pour entretenir des relations avec de nombreuses femmes en même temps, il utilisait régulièrement la carte bleu de l’une, pour offrir un cadeau à l’autre par exemple. Celles qui s’en disent victimes le décrivent comme un homme qui ne peut s’empêcher de mentir. Son avocate affirme qu’il n’a rien commis de « pénalement condamnable ».

Cet épisode de Code source est raconté par Nicolas Goinard, du service Police Justice Ile-de-France du Parisien.

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Anne-Cécile Suzanne a 33 ans et elle a grandi dans la ferme familiale de Mauves-sur-Huisne (Orne). Son père agriculteur la pousse à faire de longues études, alors après son BAC, elle entre en école de commerce à Nantes. Au bout de quelques années, son école lui propose de partir à Boston dans le cadre de son cursus. Mais à la même période, son père apprend qu’il a un cancer, et il ne parvient plus à s’occuper de l’exploitation. Anne-Cécile a 22 ans, et elle décide de se lancer. Elle reprend la ferme, sans formation agricole, tout en poursuivant ses études à Sciences Po, qu’elle a intégré entre-temps. 

Le 24 janvier dernier, elle raconte ce parcours dans un livre intitulé « Les sillons que l’on trace » (éditions Fayard). Anne-Cécile Suzanne témoigne au micro d’Ambre Rosala.

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Le 25 janvier dernier, Alain Delon a été placé sous sauvegarde de justice. Concrètement, la justice a désigné un mandataire qui sera responsable du suivi médical de l’acteur de 88 ans, ainsi que du choix de ses médecins.

Cette décision intervient alors qu’Alain Delon est très affaibli par plusieurs AVC, et par la guerre que se livrent ses enfants par médias interposés depuis le début de l’année. L’acteur vit aujourd’hui reclus dans sa propriété de Douchy (Loiret) avec son plus jeune fils. 

Code source fait le point sur les nouveaux éléments de l’affaire Delon avec Catherine Balle et Yves Jaeglé, spécialistes cinéma, et Jean-Michel Décugis, du service police justice du Parisien.

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Après la Palme d’or 2023 au festival de Cannes et plus d’1,3 millions de spectateurs en salles en France, le succès d’« Anatomie d’une chute » continue de dépasser les frontières de l’hexagone. Le film a reçu deux Golden Globes à Los Angeles début janvier, figure parmi les coups de cœur de Barack Obama, et se retrouve en lice pour les Oscars en mars prochain… 

Le quatrième long-métrage de Justine Triet concourt dans cinq catégories, notamment dans celles du meilleur film, de la meilleure réalisatrice, et de la meilleure actrice pour Sandra Hüller. Une revanche pour ce film que le Conseil national du cinéma (CNC) n’avait pas choisi pour représenter la France dans la catégorie « meilleur film étranger ».

Pour Code source, Renaud Baronian, spécialiste cinéma au service culture du Parisien, revient sur la carrière de Justine Triet et le succès inattendu de son dernier film.

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C’est depuis une exploitation agricole de Montastruc-de-Salies (Haute-Garonne) que le Premier ministre, Gabriel Attal, a fait une série d’annonces pour venir en aide aux agriculteurs le 26 janvier dernier. Des mesures jugées insuffisantes par beaucoup d’entre eux, qui ont annoncé dans la foulée vouloir bloquer plusieurs routes autour de Paris.

La colère des agriculteurs français monte depuis plusieurs mois. En novembre dernier, des exploitants avaient symboliquement retourné des panneaux de noms de communes et organisé des blocages. Le 5 décembre, Elisabeth Borne, alors cheffe du gouvernement, avait reçu les syndicats agricoles, sans parvenir à apaiser leur colère.

Que dénoncent ces exploitants ? Pourquoi les premières réponses du gouvernement n’ont-elles pas suffi à mettre un terme à cette crise ? Code source fait le point avec Enola Richet, reporter au service économie du Parisien et David Charpentier, chef adjoint de ce service.

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Pendant le week-end des 13 et 14 janvier, les habitants d’un quartier populaire de Valence (Drôme) ont exprimé une vive inquiétude. Une vidéo publiée brièvement sur le réseau social Instagram manifestait le souhait de personnes anonymes de kidnapper les “gamines” de la cité du Plan. De quoi alimenter le climat de peur qui règne depuis plusieurs mois dans ce quartier, théâtre d’une guerre de dealers avec la cité voisine de Fontbarlettes.

La violence est montée d’un cran depuis deux ans et les fusillades font désormais partie du quotidien des habitants. Les rivalités sanglantes s’accentuent entre les clans des deux cités, sur fond de trafic de drogue. Une liste d’une trentaine de “gens à abattre” circulait même ces derniers jours sur les réseaux sociaux.

Christel Brigaudeau, journaliste au service police-justice du Parisien qui s’est rendue trois jours sur place, raconte dans Code source son immersion dans ces quartiers où les habitants ont peur d’être pris pour cible.

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : BFMTV.

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Il y a deux ans, le 26 janvier 2022, la parution du livre Les Fossoyeurs (Fayard), écrit par le journaliste d’investigation Victor Castanet, faisait l’effet d’une bombe. Cette enquête épingle sur 400 pages les méthodes du groupe Orpéa pour maximiser sa rentabilité au détriment de la qualité de vie de ses résidents.

Plusieurs enquêtes ont depuis été ouvertes. L’ancien directeur général du groupe, Yves Le Masne, et l’ancien directeur financier du groupe, sont mis en examen et incarcérés pour escroquerie, blanchiment, et corruption. Le groupe Orpea est quant à lui visé par une enquête pour homicides et blessures involontaires. 

Où en est le groupe aujourd’hui ? Comment a-t-il été repris en main ? Eléments de réponse dans Code source avec les journalistes du Parisien Maxime Gayraud, du service économie, et Bérangère Lepetit, du service société.

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France Inter, France TV, BFM TV, BFM Business, TF1.

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Le mercredi 20 décembre, le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, annonce après un conseil des ministres la nomination d’une nouvelle ministre de la Santé : Agnès Firmin Le Bodo. Elle succède à Aurélien Rousseau, qui vient de démissionner pour protester contre la loi immigration, adoptée la veille par l’Assemblée nationale. Mais dès le lendemain de cette annonce, le site d’information Mediapart fait des révélations sur le passé de la ministre, quand elle était pharmacienne au Havre.

On apprend qu’Agnès Firmin Le Bodo est visée depuis juin 2023 par une enquête judiciaire, soupçonnée d’avoir reçu entre 2015 et 2020 pour 20 000 euros de bouteilles de champagne, de montres de luxe et d’autres cadeaux de la part des laboratoires Urgo. Cet article relance un scandale qui a été révélé début 2023, quand Urgo avait écopé d’une amende de plus d’un million d’euros, dont 625 000 avec sursis, pour avoir proposé à des milliers de gérants de pharmacies des cadeaux en nature, une pratique pourtant interdite par la loi.

Code source revient sur ce scandale qui touche aujourd’hui environ 8000 professionnels de santé avec deux journalistes du service Futurs du Parisien, Elsa Mari, spécialiste santé, et Nicolas Berrod.

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Fanny est la petite dernière d’une famille de huit, catholique pratiquante, qui vit à côté de Lille. La semaine, elle étudie à l’Institut libre de Marcq-en-Barœu et le dimanche, elle chante à la messe. En 1991, quand elle a 16 ans, son professeur de musique, Bernard Dewagtère, la repère et lui propose de rejoindre la Maîtrise boréale, un chœur d’enfants qu’il dirige. Elle accepte et commence à participer aux répétitions, en vue des représentations. 

En l’espace de quelques années, la Maîtrise boréale devient l’une des chorales les plus prestigieuses de France. Elle se produit dans des lieux mythiques comme à l’opéra Bastille à Paris, elle fait des tournées à l’étranger et va même chanter aux côtés de Jean-Jacques Goldman, pour un concert des Enfoirés. Mais en coulisses,Bernard Dewagtère règne en tyran et étend son emprise sur plusieurs adolescentes, dont Fanny, jusqu’à leur imposer des relations sexuelles répétées.

Pour Code source, Nicolas Jacquard, journaliste au service police-justice du Parisien, raconte ce qu’a subi Fanny ainsi que le combat judiciaire qu’elle mène depuis des années, contre le chef de chœur, aujourd’hui mis en examen pour viol. 

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Près de dix ans après la mystérieuse disparition d’un Boeing 777 entre la Malaisie et le Vietnam, France 2 diffuse ce mardi 23 janvier la série documentaire inédite « MH370, la vérité disparue », en partenariat avec Code source et Le Parisien. 

Durant six épisodes, les différents protagonistes de cette incroyable affaire racontent comment ils et elles ont vécu la perte de cet avion et de ses 239 passagers, le samedi 8 mars 2014. 

Si des débris ont été retrouvés plusieurs mois après dans l’océan Indien et sur les côtes africaines, l’appareil n’a quant à lui jamais été retrouvé malgré des recherches extrêmement longues et coûteuses. 

Y a-t-il eu un crash ? Si oui, était-il accidentel ? Le rapport d’enquête final n’a pas permis d’éclaircir les nombreuses zones d’ombres autour du vol MH370. Sur bien des aspects de cette énigme, depuis une décennie, journalistes, enquêteurs et familles de victimes ne peuvent se raccrocher qu’à des suppositions.

Notre invité Benoît Bringer, journaliste d’investigation et réalisateur « MH370, la vérité disparue », retrace cette affaire dans Code source.

« MH370, la vérité disparue », série documentaire de Benoît Bringer en 6 épisodes (2024) est disponible gratuitement dès le 23 janvier sur la plateformefrance.tv. 

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Il aura fallu plus de dix ans à Charlotte Peyronnet pour comprendre qu’elle n’arrivait pas à se passer d’alcool. Cette ancienne restauratrice de 33 ans, ancienne journaliste, a longtemps cru qu’elle était une bonne vivante avec une « sacré descente ». La vie étudiante, les pots après les journées de travail stressantes, et toutes les sollicitations amicales… Elle avait pris l’habitude de ne jamais dire non à un verre, et de ne pas compter les suivants.

Désormais sobre depuis presque trois ans, Charlotte Peyronnet témoigne ce mois-ci dans le livre Et toi, pourquoi tu bois ? (Denoël). Elle raconte la descente aux enfers qui l’a amenée à arrêter de boire. À travers son récit, elle invite chacun à faire le point sur sa manière de consommer de l’alcool.

Témoignage recueilli par Ambre Rosala pour Code source.

Si vous avez besoin d’aide, vous pouvez contacterAlcool Info Serviceau0 980 980 930(ouvert 7j/7 de 8h à 2h) ou consultez leur site internet :alcool-info-service.fr.

Il est également possible de contacter l’associationAlcooliques Anonymesau09 69 39 40 20(ouvert 7j/7 et 24h/24) ou en remplissantce formulaire.

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Le 24 décembre dernier, Alain-Fabien Delon, le plus jeune fils d’Alain Delon, publie sur Instagram une photo de la famille attablée pour le réveillon de Noël. On y voit l’acteur quelque peu affaibli, entouré de ses deux fils et ses deux petites-filles, dans la cuisine de sa demeure de Douchy (Loiret). Il n’en fallait pas plus pour que la famille se déchire sur la place publique.

Les trois enfants Delon sont en désaccord sur ce qu’il faut faire concernant la santé de leur père, affaibli après un AVC en 2019 et atteint d’un cancer. Anouchka voudrait qu’il poursuive son traitement en Suisse, alors qu’Anthony et Alain-Fabien estiment qu’il faut respecter la volonté de l’acteur de finir ses jours à Douchy. De son côté, Hiromi Rollin qui a longtemps partagé la vie d’Alain Delon, accuse les enfants de «tentative d’homicide volontaire», parce que les traitements ont été suspendus.

Pour Code source, les journalistes du Parisien Catherine Balle et Yves Jaeglé, du service culture, et Jean-Michel Décugis du service police-justice, racontent l’affaire qui secoue la famille Delon.

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Après l’annonce d’un remaniement et plusieurs jours de flottement, le jeudi 11 janvier en fin d’après-midi, la rumeur est confirmée : Rachida Dati est nommée ministre de la Culture, pour succéder à Rima Abdul Malak.

Ex-garde des Sceaux sous Nicolas Sarkozy, maire LR du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati n’est pas particulièrement identifiée par le monde de la culture, et affirmait jusqu’à présent vouloir viser les élections municipales de 2026 à Paris. Une ambition qu’elle ne compte pas abandonner, malgré son nouveau ministère et sa mise en examen en 2021 pour « corruption et trafic d’influence passif » dans le cadre d’une enquête sur des prestations de conseil auprès du patron du groupe Renault-Nissan. 

Cet épisode est raconté par deux journalistes du service politique du Parisien, Olivier Beaumont et Alexandre Sulzer, et par Clémence Bauduin, cheffe adjointe de l’édition de Paris

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Au début de l’année 2023, un rapport interne de la Direction centrale des CRS (DCCRS) a pointé de nombreux dysfonctionnements dans la gestion de la CRS 4, une compagnie basée au château de Pomponne à Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne).

A la tête de cette compagnie depuis 2009, le commandant Luc L., qui semble avoir, au fil des années, délégué la quasi-totalité de ses responsabilités à son adjoint, le capitaine Sylvain L.B. Pendant un temps, le système fonctionne : le capitaine informe son commandant des affaires courantes, et gère la compagnie au quotidien, bénéficiant d’une voiture de fonction à laquelle il n’a normalement pas droit. Le commandant, lui, dispose de beaucoup de temps libre, et en profite notamment pour s’adonner à une de ses passions, le golf. Mais la relation entre les deux hommes se dégrade à partir de l’été 2022, et les tensions montent au sein de la compagnie. 

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Quelle histoire Christelle Doisy choisira-t-elle de raconter à la barre ? Après des années de cavale, cette femme de 49 ans doit être jugée à partir du 2 avrilà Amiens (Somme) pour une cinquantaine d’escroqueries, qu’elle aurait commises en abusant de la confiance de ses maris successifs.

Experte dans la falsification de documents,Christelle Doisy aurait séduit ces dernières années plusieurs hommes, en leur dissimulant sa véritable identité, afin de fonder une famille avec eux et leur soutirer discrètement de l’argent. Des conjoints tellement confiants qu’ils la mettaient en charge de la gestion administrative et financière du foyer, avant de s’apercevoir qu’au lieu de payer les loyers ou les factures, elle détournait cet argent.

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Une nomination surprise. Le mardi 9 janvier, le choix d’Emmanuel Macron s’est arrêté sur Gabriel Attal, un fidèle de la première heure du président, pour succéder à Elisabeth Borne au poste de Premier ministre. À 34 ans, le natif des Hauts-de-Seine devient le plus jeune locataire de Matignon de la Ve République, après un passage éclair et remarqué à l’Education nationale.

Sa tâche est considérable : relancer le second quinquennat du chef de l’Etat, en pleine crise après l’adoption de la loi immigration en décembre et à quelques mois des élections européennes. Pour cela, le Premier ministre s’est entouré d’un gouvernement composé des poids lourds de l'exécutif (Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, Eric Dupont-Moretti) mais aussi de personnalités issues des rangs de la droite comme l’ancienne ministre sarkozyste Rachida Dati, nommée à la Culture. 

Code source revient sur les raisons de cette promotion avec Valérie Hacot, cheffe adjointe du service politique du Parisien, et Olivier Beaumont, journaliste en charge du suivi de l'exécutif.

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Résumé. Président du Rassemblement national à seulement 28 ans, Jordan Bardella a pour mission de préparer son parti à prendre le pouvoir. Homme de confiance de Marine Le Pen, habitué des plateaux télévisés, 30e personnalité préférée des Français… Le natif de Seine-Saint-Denis est devenu en quelques années une des figures phares de l'extrême droite.

Son parcours au Rassemblement national commence lorsqu’il prend sa carte au Front National à 16 ans. Mais c’est en 2019 qu’il est propulsé sur le devant la scène, désigné comme tête de liste RN pour les élections européennes. Il remporte alors le scrutin en se plaçant devant la liste du camp présidentiel. Un exploit qu’il espère renouveler aux nouvelles élections de juin prochain pour porter un nouveau coup dur au président de la République.

Pour Code source, les journalistes au service politique du Parisien, Quentin Laurent et Alexandre Sulzer, reviennent sur l’ascension de Jordan Bardella.

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Le 13 décembre 2023, Julia Wilner, 45 ans, remporte la 12e saison de l’émission « Meilleur Pâtissier », diffusée sur M6. Cette juriste de formation a toujours aimé cuisiner. Mais la pâtisserie est devenue une vraie passion lorsqu’elle a été contrainte de rester chez elle en arrêt maladie à partir de ses 27 ans, à cause de fortes douleurs au niveau du ventre.

Après plusieurs séjours à l'hôpital, Julia Wilner apprend qu’elle est atteinte d’une maladie auto-immune qui lui provoque des inflammations intestinales chroniques. Malgré la fatigue provoquée par son traitement, cuisiner des pâtisseries chez elle pour ses proches lui fait beaucoup de bien. Elle décide alors de lancer un compte Instagram pour partager ses créations patissières. Un jour, elle reçoit un message pour participer à un célèbre concours culinaire, diffusé sur M6.

Pour Code source, Julia Wilner raconte son histoire au micro d’Ambre Rosala.

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : M6.

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Le 7 décembre 2023, le magazine de France 2 « Complément d’enquête » dévoile des images inédites de Gérard Depardieu lors d’un voyage en Corée du Nord. Elles datent de 2018, lorsque l’interprète de Cyrano de Bergerac se rend dans cette dictature pour les besoins d’un documentaire. Mais celui-ci n’a jamais été diffusé, tant l’acteur, mis en examen pour “viols” et agressions sexuelles depuis 2020 et visé à ce jour par trois plaintes, s’est montré irrespectueux envers ses interlocutrices, en leur faisant des allusions sexuelles incessantes.

Ces images n’ont pas tardé à faire le tour des réseaux sociaux, et à provoquer une vague d’indignation des internautes mais également de personnalités publiques. Depuis le cas Depardieu fracture le monde de la culture. À la suite d’une première tribune de soutien controversée publiée dans « Le Figaro », deux contre-tribunes ont été à leur tour publiées sur Mediapart et dans « Libération »…

Pour Code source, les journalistes du Parisien Catherine Balle, spécialiste cinéma, et Valérie Hacot, cheffe adjointe du service politique, reviennent sur cette affaire.

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La principauté d’Andorre, située entre la France et l’Espagne, est victime de son succès. Depuis quelques années, de plus en plus d’influenceurs, de sportifs de haut niveau ou de retraités ont choisi de s’installer dans ce petit territoire de 84 000 habitants, niché au cœur des Pyrénées. Car au-delà d’être proche de la France, vivre à Andorre est surtout avantageux fiscalement.

Mais cet attrait pour ce territoire n’est pas sans conséquence pour les habitants : les prix de l’immobilier grimpent en flèche. Ces cinq dernières années, le secteur a connu une augmentation des prix de plus de 30%. Début décembre, d’après les chiffres de la police, 2000 habitants ont manifesté contre la flambée des prix. Un taux de participation record dans l’histoire de ce micro-Etat, qui a forcé le gouvernement à réagir. 

Pour Code source, Bérangère Lepetit, journaliste au service société du Parisien, raconte son reportage en Andorre.

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La musique a toujours été au cœur de la vie de Samuel Dehr, 38 ans. En novembre, son groupe « Les Evadé.e.s », a fait la première partie du spectacle musical « Bernadette de Lourdes » au Zénith de Lille, devant 7 000 personnes. Le musicothérapeute de formation est sur scène avec Joris, Eric et Frédérique : trois « cabossés », comme lui. 

Car Samuel Dehr est un miraculé. En 2013, il a survécu à une chute de six étages qui lui a brisé une grande partie du corps. Grâce à trois années de rééducation acharnée, il remarche et revit quasiment normalement. Mais en juin 2022, ses médecins lui découvrent un cancer de stade 4. Il n’a alors qu’une idée en tête : tenter de survivre pour mener à bien son projet musical. 

Pour Code source, Samuel Dehr témoigne au micro d’Ambre Rosala.

Retrouvez « Les Evadé.e.s » sur leur compte Instagram : @lesevadees_avc

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Sauf coup de théâtre, Cédric Jubillar sera jugé fin 2024 ou début 2025, après avoir été renvoyé fin novembre devant les assises du Tarn. Cet artisan est accusé du meurtre de sa femme Delphine Jubillar (née Aussaguel), disparue dans la nuit du mercredi 15 au jeudi 16 décembre 2020. L’infirmière de 33 ans, mère de leurs deux enfants, n’a jamais été retrouvée.

Au cours de l’enquête, les soupçons se sont tournés assez rapidement vers son mari, avec qui elle était en instance de divorce. Mais le doute subsiste quant à la culpabilité du trentenaire, qui clame son innocence depuis le début. Si le dossier d’accusation ne présente pas de preuves accablantes, un lourd faisceau d’indices pèse contre lui.

Pour Code source, Ronan Folgoas, journaliste au service police-justice du Parisien, revient sur son enquête sur l’affaire et le dossier d’accusation de Cédric Jubillar, qu’il a pu consulter.

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Benoît Gillon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : BFMTV.

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Le 14 décembre, Code source a raconté comment la loi Immigration promise par Emmanuel Macron en 2022 s’est transformée en « chemin de croix » pour sa majorité. Trois jours plus tôt, cette loi n’avait pas pû être examinée à l’Assemblée nationale après la vote d’une motion de rejet.

À la suite de ce rebondissement, le volet répressif de ce projet de loi a été fortement durci, à la demande des parlementaires Républicains, d’abord au Sénat puis en Commission mixte paritaire. Le texte remanié a finalement été adopté par le Parlement le 19 décembre. Si tous les députés Rassemblement National ont voté pour, 20 députés de la majorité présidentielle ont voté contre. Une première, signe d’une fracture, au sein du parti Renaissance… et preuve des limites du « en même temps », prôné par Emmanuel Macron.

Récit dans Code source de deux chefs adjoints du service politique du Parisien, Valérie Hacot et Marcelo Wesfreid. 

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Benoît Gillon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCP, France 5, LCI.

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Le 16 avril 2019, au lendemain de l’incendie qui a emporté une partie de Notre-Dame de Paris, le chef de l’Etat fait une promesse : la cathédrale sera reconstruite en cinq ans. 

Dans la foulée, plus de 800 millions d’euros sont récoltés grâce à une campagne de dons et une équipe de 130 corps de métiers est constituée pour mener ce chantier titanesque. Au fil des années, la reconstruction de Notre-Dame se heurte à plusieurs obstacles, dont la mort de celui qui devait encadrer le chantier, le général Jean-Louis Georgelin. Malgré cela, les délais devraient être tenus, et la cathédrale rouverte au public le 8 décembre 2024.

Code source fait le point sur la reconstruction de Notre-Dame de Paris avec Paul Abran, journaliste à l’édition de Paris, et Charles de Saint-Sauveur, spécialiste histoire au Parisien.

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : INA, BFMTV, Élysée.

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Épisode diffusé pour la première fois le 16 février 2023.

De jeunes adultes accros aux injections d’acide hyaluronique dans le visage, au botox « préventif », ou encore aux greffes capillaires. Ils sont de plus en plus nombreux à vouloir s’approcher des visages et des corps promus sur Instagram et par des stars de la téléréalité comme Kim Kardashian ou Nabilla. En 2019, la proportion de 18-34 ans qui ont recours à la chirurgie esthétique a pour la première fois dépassé celle des 50-60 ans. 

Mais ces interventions sont risquées. Les injections à bas prix sont souvent pratiquées par des esthéticiennes ou des prothésistes ongulaires non qualifiées, et cela peut avoir des conséquences dramatiques. Récemment la star de téléréalité Luna Skye a mis en cause un chirurgien star d’Instagram, Benjamin Azoulay, après des injections dans les fesses qui se sont infectées. 

Dans un livre-enquête intitulé «Génération bistouri», publié aux Éditions JC Lattès, Ariane Riou et Elsa Mari, journalistes au Parisien, ont enquêté sur ce phénomène. Elles racontent les ravages de la chirurgie esthétique sur les jeunes au micro de Code source. 

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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Thibault Lambert et Paloma Do Nascimento Cardoso  - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : W9, Luna Skye, Soneeeeeel.

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Épisode diffusé pour la première fois le 2 mai 2023.

C’est la marque de vêtements qui cartonne auprès de la jeune génération. Shein, créée en 2012, séduit grâce à des prix très attractifs et une offre de produits sans cesse renouvelée. En moins de dix ans, le géant chinois qui distribue ses produits dans 150 pays, est devenu le leader du marché de la « fast fashion », avec un chiffre d’affaires estimé à plus de 25 milliards de dollars en 2022.

Mais depuis plusieurs mois, des ONG, des influenceurs ou des personnalités politiques s’élèvent contre Shein. Des enquêtes ont récemment mis en lumière les conséquences écologiques désastreuses de ce modèle économique qui repose sur l’exploitation d’ouvriers chinois sous-payés, dont la cadence de travail peut atteindre dix-huit heures par jour, afin de proposer des vêtements à des prix toujours plus bas.

Pour Code source, deux journalistes du Parisien, Odile Plichon, du service économie, et Paméla Rougerie, du pôle news, racontent les dessous de la marque Shein. 

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Épisode diffusé pour la première fois le 3 mai 2023.

Après avoir passé plus de 7 ans au sein de la brigade criminelle de Paris, au mythique 36 quai des Orfèvres, Raphaël Nedilko débarque en 2008 à la PJ de Dijon. En plus des affaires courantes, sa hiérarchie lui confie des cold cases, ces dossiers non-élucidés qui prennent la poussière et dont personne ne veut. 

Parmi eux, il y a les meurtres de Christelle Maillery et de Christelle Blétry, tuées en 1986 et 1996. Raphaël se fascine pour ces affaires et passe des semaines à éplucher les dossiers à la recherche d’indices. Au terme de plusieurs années d’enquête solitaire, son obstination paye. Il parvient à rattraper les deux meurtriers, Jean-Pierre Mura et Pascal Jardin.

Raphaël Nedilko, qui vient de publier un livre coécrit avec Catherine Siguret, « L’Obstiné », raconte son histoire au micro d’Ambre Rosala.

Vous pouvez retrouver les épisodes de notre podcast de fait-divers, Crime Story, consacrés à l’affaire Christelle Maillery ici.

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Épisode diffusé pour la première fois le 8 février 2023.

Début décembre, dans le cadre d’une enquête sur un vaste réseau de corruption qui touche le secteur des fourrières parisiennes, Chafic Alywan est arrêté et mis en examen, notamment pour « corruption » « blanchiment » et « abus de biens sociaux ». Dans cette affaire, un ancien fonctionnaire de la préfecture des Hauts-de-Seine est placé sous contrôle judiciaire et deux policiers sont également mis en examen.

Connu sous le nom de « roi des fourrières parisiennes », ce franco-libanais de 51 ans était devenu en l’espace de quelques années l’un des mastodontes du secteur. A la tête d’Inter Dépannage, il régnait sur le sud de Paris et la banlieue ouest. Mais pour en arriver là, il aurait agi en marge de la légalité, tout en ayant recours à un système de corruption.

Pour Code source, Nicolas Jacquard, journaliste au service police-justice du Parisien, raconte l'ascension et la chute de Chafic Alywan.

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Épisode diffusé pour la première fois le 17 janvier 2023.

Il y a cinq ans déjà. Le 7 janvier 2018, tout juste un mois après Johnny Hallyday, France Gall était emportée par un cancer à l’âge de 70 ans. Mais sa voix résonne encore.

Alors que la nouvelle version de « Starmania » fait salle comble depuis le mois d’octobre à Paris, comment ne pas penser au couple que France Gall formait avec Michel Berger ? En 1979, il avait composé la musique du spectacle, tandis qu’elle incarnait Cristal et chantait sur scène son « Besoin d’amour ». Pour son épouse, Berger a composé des morceaux devenus des classiques qui ont fait exploser sa carrière : « Il jouait du piano debout », « Ella, elle l'a », ou encore « Evidemment ».

Code source revient sur le parcours de France Gall et sur cette rencontre avec Michel Berger qui a tout changé, avec Grégory Plouviez et Emmanuel Marolle, journalistes au service culture du Parisien.

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Épisode diffusé pour la première fois le 28 février 2023.

Dans son dernier film sorti à la fin du mois de février, « The Fabelmans », Steven Spielberg raconte sa propre histoire : son enfance avec trois sœurs et des parents dont il est très proche, et le début de sa passion dévorante pour le cinéma. Ce projet autobiographique a mis plusieurs décennies à voir le jour. 

Le cinéaste américain multi-récompensé s’est très largement fait connaître grâce à des blockbusters comme « Rencontres du troisième type », « E.T. » ou encore « La liste de Schindler ». Admiré par ses pairs et par les acteurs avec lesquels il travaille, Spielberg a toujours été pudique sur sa vie personnelle, le harcèlement antisémite qu’il a subi enfant, ou encore le divorce douloureux de ses parents. 

Cet épisode de Code source est raconté par Yves Jaeglé et Renaud Baronian, journalistes au service culture du Parisien.

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Le 16 décembre, Ève Gilles est élue Miss France 2024. La candidate de 20 ans, qui représentait le Nord-Pas-de-Calais, a été couronnée en direct sur TF1, depuis le Zénith de Dijon (Côte-d’Or). La cérémonie a également été marquée par un hommage rendu à Geneviève de Fontenay, présidente du comité Miss France de 1981 à 2007, décédée cet été à l’âge de 90 ans.

Plus de 100 ans après son lancement, l’élection de Miss France suscite le débat depuis quelques années, notamment auprès des associations féministes, qui considèrent ce concours sexiste et rétrograde. Il reste pourtant très populaire et évolue : cette année encore, la cérémonie a réalisé un carton d’audience, avec en moyenne plus de 7 millions de téléspectateurs. Les critères de sélection ont aussi évolué, comme la suppression de la limite d’âge.

Pour Code source, Yves Jaeglé, journaliste au service culture du Parisien, raconte les coulisses de l’élection de Miss France 2024. 

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