Salle 101

[…] Pleinement reposée après ses vacances à Gstaad où elle a skié avec ses amis banquiers, la Salle 101 s’attelle à ses nouvelles chroniques qui mêlent subtilement passion et dignité, regarde : Godzilla Minus One, un film avec Godzilla mais japonais cette fois. L’empire, un film de Bruno Dumont mais français. Infinity Gate, excellent roman […]

[…] Décontractée, heureuse, sereine, bien protégée par l’ampleur de son compte en banque, la Salle 101 se réjouit des chroniques subtiles qu’elle t’offre chaque semaine, dans un grand élan de générosité, regarde donc : La trilogie de Corfou, merveilleuse chose de Gerald Durrell. Invasion : journal d’ukrainiens pacifiques chose peu drôle de Henry Lion Oldie. Un […]

[…] séduite par le charme et le charisme évident de la nouvelle droite, la Salle 101 se tourne vers des littératures plus urgentes, plus directes, plus à la pointe de nos furieux futurs, la preuve : Sweet Harmony, super texte de Claire North. Pénélope, Reine d’Ithaque, super texte aussi de Claire North. Chroniques glorieuses, super […]

[…] Rénovée de fond en comble, enfin apaisée, enfin de droite, la Salle 101 chante les louanges du gouvernement via des chroniques assez orientées, juge plutôt: Rebel Moon, film (?) de Zack Snyder. Mars Express, vraie réussite réussie de Jérémie Périn. Elephant Crunch, dernière drôlerie de Mark Haskell Smith. N’est-ce pas merveilleux ? « Quand je […]

[…] Transporté par la joie, Raoul meurt et laisse la place aux autres pour une émission de malade où plusieurs choses sont chroniquées : Ségurant, le chevalier au dragon, roman arthurien proposé par Emanuele Arioli. Les hygialogues de Ty Peterson, nouveau livre de Saul Pandelakis. Les vagabonds, roman vachement bien de Richard lange. Allez, go […]

[…] Heureuse de fêter cette nouvelle année avec toi, public de feu, public moite, public d’amour, la Salle 101 déshabille son âme et t’offre ce qu’elle a de plus précieux : Les nomades du fer, un livre qui déchire selon plusieurs dimensions d’Eleanor Arnason. Aliène, turbolivre upgradé de Phoebe Hadjimarkos Clarke. Le soulèvement des pigeons, […]

[…] Véritable ange de Noël tombé pour toi sur terre, la Salle 101 te régale de cadeaux littéraires tous plus oufs les uns que les autres, regarde : Les indomptés, incroyable hommage à Lucky Luke par Blutch. Mon travail n’est pas terminé, incroyable recueil de Thomas Ligotti. Là où sont les oiseaux, incroyable roman foiré […]

[…] Toujours fidèle à ses idéaux premiers comme aux directives du ministère de l’intérieur, la Salle 101 s’aligne en chroniquant des choses de ouf, juge plutôt : Rose House, roman raté d’Arkady Martine. Echopraxie, roman réussi de Peter Watts. Nouvelles d’antan, excellent recueil de l’excellent Jack Finney que nous aimons. Voilà. « Depuis que j’ai arrêté la […]

[…] Saisie par la frénésie de Noël et la volonté d’offrir au monde le meilleur de la SF, la Salle 101 chronique des oeuvres notables qui ne manqueront pas d’ambiancer tes soirées à thème : Le grand dieu Pan, d’un certain Arthur Machen. Bodies, une mini-série ma foi surprenante disponible sur toutes les plateformes de […]

[…] Soulagée par la relaxe de son garde des Sceaux préféré, la Salle 101 se rit de la loi en chroniquant des choses que l’on pourrait qualifier de ouf guedin : Les aiguilles d’or, roman pas si mauvais de Michael McDowell. La cité diaphane, roman pas si mal d’Anouck Faure. Jenny-Les-Vrilles, roman pas si pire […]

[…] Transie de désir, ivre de sensualité moite, la Salle 101 t’offre le meilleur d’elle-même avec ces quelques petites choses de nature à faire entrer le bonheur dans ta maison intérieure : Le ministère du futur, le dernier truc de ouf de Kim Stanley Robinson. La promesse, vieille chose de ouf de Friedrich Dürrenmatt. Upgrade, […]

[…] Euphorisée comme jamais, la Salle 101 met de l’ecstasy dans le verre de tes oreilles en chroniquant des trucs de ouf destinés à t’apporter joie, plaisir et sensualité : Barbares, dernier texte traduit du chouchou Rich Larson. Ahsoka, petite série peu connue dénichée par ton émission préférée. Dédales 3, Caprice et Monica, dernières BD douces-amères […]

[…] Transie de bonheur, saisie par le feu, la Salle 101 rend coup pour coup à la vie que tu mènes et garde toujours en elle la chronique attitude des images qui bougent, regarde : The Creator, incroyable bouse de Gareth Edwards, Our flag means death, série romantique avec des pirates queer qui fait plaisir, […]

[…] Fière d’évoluer dans un univers parallèle azimuthé, la Salle 101 se rit du quotidien en chroniquant des choses de qualité, juge plutôt : L’humanité-Femme, bonne chose de Joanna Russ. Lapvona, excellente chose de Ottessa Moshfegh. Coup de vent, belle chose de Mark Haskell Smith. Quelle joie ! « Je me torche avec l’opinion de ces […]

[…] Canaille ou terroriste, la Salle 101 prend parti en cette belle saison et chronique des choses qui font la hype de la fame. Protectorat, excellent recueil de Ray Nayler. Trust, excellent roman de Hernàn Diaz. À bras raccourci, excellente drôlerie de Mark Haskell Smith. Allez, soyons fous. « Azy g ri1 kompri » se plaint un […]

[…] Poursuivie par les punaises de lit qui égorgent nos fils et nos compagnes, la Salle 101 devient enfin de droite, regarde : Les flibustiers de la mer chimique, super truc de Marguerite Imbert. L’affaire Crystal Singer, super bidule d’Ethan Chatagnier. L’indien blanc, super machin de Craig Johnson. Allez, sois toi-même. « Tu vois, moi j’ai réussi », affirme […]

[…] Enfin reléguée chez elle où elle ne fera plus de mal à personne, pas même à Olivier Paquet, la Salle 101 se restructure, la preuve : Babel 17, vieille gloire de Samuel R. Delany. L’hôtel de verre, nouvelle gloire d’Emily Saint-John Mandel. Étoiles Rouges, la SF soviétique, gloire tout court de Viktoriya et Patrice […]

[…] Traquée par les abayas jusque dans nos bras, la Salle 101 s’offre quelques nouveautés de nature à égayer cette époque morne livrée au wokisme et au terrorisme écologique : L’étoile du matin, nouvelle chose de Karl Ove Knausgard. Conquest, nouveau truc de Nina Allan. Au nord du monde, vieux machin de Marcel Théroux. Guedin […]

[…] Gagnée par la fièvre des tropiques, le corps moite, la sensualité à fleur de peau, la Salle 101 se fait coquine pour toi, juge plutôt : Le dernier des aînés, jolie chose d’Adrian Tchaikovsky. La fille feu follet, truc pas si mal d’Ursula K. Le Guin. La trilogie Basse-fosse, super truc hyper chouette et […]

[…] ivre morte de joie pour cette 21ème saison dilatée comme jamais, la Salle 101 reprend de plus belle, la preuve : La peste du léopard vert, brûlante nouveauté de Walter John Williams, Le moineau de dieu, vieillerie jolie de Mary Doria Russell. Les naufragés du Wager, roman coupe-faim de David Grann. N’est-ce pas ouf […]

[…] Pour la dernière émission de la vingtième saison, dite « La Saison du Désastre », la Salle 101 se la joue nostalgique en balançant des extraits de ses anciennes émissions, manière de dire qu’elle est déjà à la plage, en gros, mais quand même, jette une oreille, c’est super beau, promis. Allez. « Nous sommes tristes, si […]

[…] Petite surprise de fin d’été, voici une interview de DOA, dont le dernier roman, Rétiaire(s), est désormais disponible chez Gallimard, mais qui se livre un peu plus dans le cadre des entretiens qu’il a accordés à Élise Lépine, ce qui donne Rétablir le Chaos, disponible aux éditions Playlist Society. Allez, cliquons.

[…] Presque en vacances, vraiment vraiment pas loin d’aller tout claquer aux Bahamas en sniffant de la coke sur l’évent des dauphins, la Salle 101 prend quand même le temps de bosser, la preuve : Babel, bonne grosse merde de R. F. Kuang vendue comme un truc super (un peu comme le libéralisme, en fait), […]

[…] déjà en maillot de bain, le corps luisant d’huile solaire, la Salle 101 expose ses chairs sans aucune vergogne après avoir envoyé Raoul au Goulag : Beau is Afraid, nouveau film d’Ari Aster. Three parts dead, roman vieux de Max Gladstone. La pilule, suivie de Big Girl, nouvelles vieilles de Meg Elison. Dingue, non […]

[…] Saisie par la gloire, ivre de joie, la Salle 101 entrevoit la fin du monde et donne tout ce qu’elle a pour mieux égayer tes lectures d’été, juge plutôt : Fantaisies Guérillères, super truc chouette de Guillaume Lebrun. Rossignol, très cool truc chouette d’Audrey Pleynet. Après nous les oiseaux, très super cool truc chouette […]

[…] Pour sa dernière émission de l’année, la Salle 101 te gâte, te flatte, te caresse, te masse, te propose de voter pour elle aux primaires, te parle de Black Mirror, de l’Amérique défaite (Packer) et du Problème à trois corps (Liu Cixin). Alors, alors, hein ? « Bonne année connard ! », nous souhaite Bruno P.

[…] satisfaite de mépriser pauvres, minorités ethniques, auteurs de SF francophone et contrôleurs de la RATP, la Salle 101 concocte une émission culinaire d’anthologie, où baignent dans leur sauce des créateurs curieux et curatifs : Franck Ferric et Trois oboles pour Charon, Franck Manuel et 029-Marie, la bande-dessinée culte Ranx,  le dernier album de Schuitten […]

[…] Impatiente d’assister à la prochaine dévoration intra-ump, la Salle 101 s’élève vers des sommets encore vierges, parle du dernier roman de Iain Banks, évoque deux expositions d’importance, et te présente un nouvel auteur inconnu, mais dont on parlera sûrement à la ville, Antoine Volodine. Allez, profite du soleil. « J’te bétonnerais tout ça pour faire […]

[…] convaincue par l’éloquence de son premier ministre, séduite par le cap résolument affiché, la Salle 101 dissèque les fonds de tiroir de Tolkien, dit du bien de Wendy Delorme, visite des expositions rigolo-gratuito-bédéistes à Paris, dit tout sur les rapports troubles entretenus par Catherine Dufour et Alfred de Musset. Tu vas moins faire ton […]

[…] Public chéri, il est temps de te remettre en selle. Et pour mieux t’accompagner dans ce moment douloureux, la Salle 101 soigne ton moral en te disant tout, oui, tout, sur Le roi en jaune de Chambers, mais aussi tout sur Price, de Tesich, sans oublier tout sur La maison de l’aube, de N. […]

[…] comme promis, Edyr Augusto est venu tout droit du Brésil nous parler de la vie, de l’écriture, de la mort et de Michel Platini. Et toi, tu as raté ça ? « La Salle 101, c’est un peu la championne du monde des émissions de radio », affirme Edyr A.

[…] Requinquée à mort par le grand retour de son ami Nicolas S., la Salle 101 fête Noël en parlant du prochain roman de Jean-Philippe Jaworski (Même pas mort), mais également de Patrick Bard (Le chien de dieu) et de Carole Martinez (Du domaine des murmures). Ensemble, tout devient possible. « Des fois, je voudrais mourir », […]

[…] Consternée par l’irruption de l’anti-France au sein du débat public, la Salle 101 apporte sa pierre personnelle au redressement national en parlant de Robert-Charles Wilson (À travers temps) et de l’épatant Effroyabl Ange1, du regretté Iain M. Banks. La Salle 101, c’est un peu la madeleine de Michel Sardou. « Comment je vais tous leur péter […]

[…] Folle de joie, enivrée par le doux parfum de la guerre humanitaire et de l’éviscération amicale, la Salle 101 donne le meilleur d’elle-même en évoquant plusieurs choses d’importance : une exposition intitulée Rêve de Monuments sur Paris, une bande-dessinée  intelligemment nommée Fuze et Pluck de Ted Stearn, et d’autres délires graphiques sobres et élégants, […]

[…] La Salle 101 célèbre la nouvelle année en parlant de différentes choses susceptibles d’élever l’âme des pauvres. Tout seul, de Chabouté. Le Moineau de dieu, de Mary Doria Russell. Chroniques de Jérusalem et The Fixer, respectivement de Guy Delisle et Joe Sacco. Alors hein, hein ? « La situation en Afrique m’a toujours beaucoup préoccupé », […]

[…] Ulcérée pas les viles attaques de la gauche contre la noble UMP™, la Salle 101 résiste en proposant à ses auditrices & auditeurs une spéciale cinéma. Avec Le Blob, improbable film des années 80, Detachment, improbable film des années 2010 et Looper, improbable film tout court. Le cinéma rend malade. « Moi, depuis que je […]

[…] Toujours prête à exercer son droit de conscience, la Salle 101 évoque différentes choses de nature à élever l’esprit des masses abruties par le travail, la télévision et les luttes intestines de l’UMP™. De fait, la Salle 101 n’hésite pas à parler de l’excellent William Kotzwinkle et de son formidable Fan Man. Mais comme […]

[…] À quelques jours de l’élection du nouveau patron de l’UMP, la Salle 101 prend clairement partie et chante, oui, chante, tu as bien lu, chante les louanges de plein de trucs : Noir sur Blanc, de Ketty Steward (avec photographies de Bertrand Robion). Vortex, de Robert-Charles Wilson. La SF, c’est la vie. « Je la […]

[…] La Salle 101 travaille les jours fériés pour t’en offrir plus, public chéri, pas comme ces saloperies de syndicats qui te prennent en OTAGE chaque jour que dieu fait. Et pour te le prouver, la Salle 101 t’offre plusieurs choses délicates et ambrées : Le prophète et le vizir, d’Yves et Ada Rémy. Eva, […]

[…] Outrageusement fardée, la Salle 101 parle du monumental machin de Stephen King, La tour sombre, puis passe à la rentrée littéraire avec Les frères Sisters de Patrick deWitt, avant de finir en beauté avec le cultissime En Patagonie de Bruce Chatwin. Depuis que la gauche est passée, c’est la gabegie. « Le supermarché crée du lien […]

[…] Même pas tétanisée par la peur, la Salle 101 parle de Satellite Sisters, le dernier Maurice Dantec, seul roman de la rentrée littéraire où des cyborgs se font dévorer par des insectes. Et comme la Salle 101 ne connaît aucune limite, elle parle aussi de trucs fous, et surtout de films coréens, enfin plutôt […]

[…] Juste avant que l’horreur socialiste vampirise nos forces vives à grand renfort d’impôts anticonstitutionnels, la Salle 101 résiste en parlant de plusieurs choses nécessaires. Le dernier Jérôme Noirez, par exemple, sobrement intitulé 120 journées. Le dernier Lindqvist, aussi, magnifiquement nommé Le retour des morts. Et même le dernier Stefan Mani, intelligemment titré Noir Karma. […]

[…] Pour fêter la rentrée et la crise qui menace, la Salle 101 ricane bêtement et parle de Chamamé, excellent roman de Leonardo Oyola paru chez Asphalte, sans oublier de se la péter littérature drôle avec Les arpenteurs du monde, fable scientifique réjouissante de Daniel Kehlmann, tout en se permettant un petit détour par Paco […]

[…] Épouvantée par la victoire du complot judéo-maçonnique ourdi par les Sages de Sion qui ont réussi à s’emparer du pouvoir en France en plaçant leur marionnette socialo-communiste à l’Élysée, la Salle 101 résiste en parlant de plusieurs choses de nature à plaire aux yeux. Blexbolex, avec Crime-Chien et Hors-Zone, Shame et Avengers pour le […]

[…] Dédiée à la mémoire du Colonel Kadhafi™, la Salle 101 parle bande-dessinée et littérature. Avec Berazachussetts, de Leandro Avalos Blacha, Carnaval, du mystérieux Akalikoushin, sans oublier les forcément inoubliables Krostons, Par Déliège. La fin du monde, c’est demain. « Le truc, c’est d’avoir toujours Dieu dans ton placard » explique Alfonso D.

[…] Heureuse de faire plaisir, la Salle 101 parle d’un grrrrrrand livre de vraie littérature vraie, Éloge des voyages insensés, de Vassili Golovanov. Ensuite, pour compenser, la Salle 101 parle d’un film rigolo, Hardware, puis d’un livre rigolo-sérieux, Je reste roi d’Espagne, par Carlos Salem. Va en paix, public, va en paix. « L’atome, c’est Dieu […]

[…] Toujours fiable dans la performance, la Salle 101 rattrape [enfin] son retard et parle de plusieurs choses essentielles en ces temps funestes d’incertitude économique : La guerre olympique, de Pierre Pelot. Mexico Noir, anthologie de nouvelles rassemblées par Paco Ignatio Taibo II (que mille pétales de roses se déposent sur son chemin lumineux). Pour […]

[…] Pas encore complètement remise de la défection de son ami jean-Louis Borloo (avec qui elle a pris cher hier soir, d’ailleurs, question Ricard), la Salle 101 se rattrape comme elle peut  : Le 22 septembre, vide de toute vie, la Salle 101 parle de cinéma (avec Creeps, un film avec des images qui bougent), […]

[…] Plus que quelques semaines avant la fin du monde, mais la Salle 101 maintient la pression et prend la France en otage. Car oui, public chéri, il arrive que la Salle 101 n’ait pas grand-chose à dire (à part Jules, bien sûr, grâce lui en soit rendue, qui assure chaque semaine comme un prince […]

[…] Fidèle à sa ligne éditoriale stricte [SF et rien d’autre], la Salle 101 parle de Palimpseste, de Charles Stross, de Le grand rouge, de Wouzit, et de Ainsi naissent les fantômes, de Lisa Tuttle. Autant dire que ça va mieux. « Ah ah ah, comment je les emmerde, les pauvres, moi » se moque Patrick I.

[…] Parée pour la candidature de Jean-Louis Borloo aux sénatoriales 2031, la Salle 101 retrouve la SF — oui, public chéri, tu as bien lu — la Salle 101 retrouve la SF. Au menu sidéral, ce soir, Destination ténèbres et Le Pouvoir, de Frank M. Robinson. Sans oublier Léo Henry et son Rouge gueule de […]

[…] pour fêter la promotion de Dominique S-K, la Salle 101 oublie sa qualité sonore déplorable et donne tout ce soir en parlant de plusieurs romans délicats. Glyphe, de Percival Everett. Belle, de Robin McKinley. Rêve de Gloire, de Roland Wagner. On est bien, là. « Tu vois, là, j’ai peur de rien », affirme kyoko Takahashi.

[…] Toujours prompte à défendre le rayonnement de la France dans le monde ou chez Jérôme Noirez, la Salle 101 s’envole dans la joie et parle de tout un tas de trucs fous : La brève et merveilleuse vie d’Oscar Wao, de Juno Diaz. Lame de corsaire, de Nicolas Cluzeau. L’homme qui marchait sur la […]

[…] Très en verve, la Salle 101 parle de bande-dessinée (Jeanine, de Matthias Picard et Abstraction 1941-1968, de Jochen Gerner), de roman russe (2017, de Olga Slavnikova) et du très bon Cyclones, nouvelle graphique de Karim Berrouka illustrée par Bruno Leray. La France va mieux. « Moi, 2012, j’y crois », nous confie Jeanne L.

[…] Célébrant en avance le double baiser de Benoît XVI accordé à la momie de Jean-Paul II sur le balcon de la Place Saint-Pierre, La Salle 101 parle de l’Amérique Latine avec Balles d’argent, excellent roman d’Elmer Mendoza, avec Plop !, excellent roman de Rafael Pinedo, et avec Le jaguar sur le toit, roman raté […]

[…] La Salle 101 se reprend, réactualise ses valeurs et disserte de Bolaño (Le troisième Reich), de Lewis Trondheim (Bludzee et Les carottes de Patagonie) et de Warren Ellis (Artères souterraines). Et le public d’en redemander. « La vérité, c’est que le monde est triste », constate Karim L.

[…] malgré les intempéries qui, à l’instar des hordes gauchistes, terrorisent la France, la Salle 101 prend son courage à deux mains, parle de Freak Angels (Warren Ellis), de Bit-Lit ! (aux Moutons électriques), de Transparence des Tigres (encore), de Jack Finney (Le voyage de Simon Morley) et même (pour rigoler) des Petits Mouchoirs (ah […]

[…] Enfin digne et sympathique, la Salle 101 parle de tout un tas de trucs fous: Léo Kennel et sa Transparence des tigres, Barry Gifford et son formidable Une éducation américaine, Charles Burns et son intrigant Toxic, Jack McDevitt et son cycle SF, sans oublier une excellente bande-dessinée, Les derniers jours d’un immortel, le tout […]

[…] Triste, triste Salle 101. Après l’excellent début d’Alice qui nous parle d’Antoine Bello — Les falsificateurs & Les éclaireurs —, le pathétique Raoul se noie dans deux bouteilles de rouge et n’arrive plus à articuler le moindre mot. De fait, saoul comme une vache, il massacre la chronique du film (?) Splice et du […]

[…] Pour sa pénultième émission de la saison 2009-2010, la Salle 101 fait dans le classe, avec La laiteuse et son chat, avec Métro 2033 et Discount. Tout ceci est beau. « Trop relou, pour manger un oeuf, là » se plaint Jean-Didier I.

[…] Jeune, beau, viril et drôle, Alfred Abdaloff vous gâte. À lui tout seul.

[…] Remise de ses émotions, la Salle 101 disserte longuement sur les éditions Asphalte [et deux publications, Paris Noir, anthologie policière dirigée par Aurélien Masson et Les Taupes, de l’argentin Bruzzone] avant d’enchaîner avec Bukowski et de conclure avec la brillante trilogie de l’Oecumène d’Or. Quand même, ça claque. « L’aut’jour, j’étais tellement bourré que j’ai […]

[…] Prouesse, véritable tour de force, chef d’oeuvre, la Salle 101 réussit l’exploit de dire du bien de Borges et de Sire Cédric dans la même émission. Preuve que les nazis ont gagné la guerre et que nous vivons dans un moment du faux. Eh ouais. « Je ne me sens pas très bien », reconnaît Amandine […]

[…] Après notre émission spéciale consacrée à Tchernobyl, voici notre émission spéciale consacrée à Charlotte Abdaloff, qui fête cette semaine ses cinquante ans. Pour lui rendre hommage, la Salle 101 parle de plusieurs choses. Le Don, excellent roman de Patrick O’leary. Dans ses yeux, excellent film argentin. ‘Pi de Gene Wolfe aussi. Au-delà du formidable. […]

[…] Pour faire taire les détracteurs du nucléaire si prompts à nous renvoyer dans des grottes éclairées à la bougie, la Salle 101 fait une émission spéciale consacrée à Tchernobyl et parle de plusieurs choses, dont La supplication, Stalker et Nova Swing. Le tout avec l’humour d’Alain Carignon. « Quoi ? Quoi ? » demande Jean-Louis Edf.

[…] Par respect envers l’institution judiciaire qui a relaxé notre ami Charles Pasqua, la Salle 101 parle aujourd’hui d’un curieux roman de Jack O’Connell, Dans les limbes. Puis, dans un grand élan de joie, la Salle 101 parle de Joe Daly et du tome 2 de Dungeon Quest. Le tout sous le haut patronage de […]

[…] Dans un hurlement de joie démente, la Salle 101 parle du dernier roman de Douglas Coupland, d’un texte de William Gay et même d’Alan Moore, grâce à la sensualité féline qui caractérise Alfred. L’assistance est sans voix. « Je n’ai jamais rien compris à la science-fiction » nous explique Claude Lévi S.

[…] La Salle 101 vous explique pourquoi Alice au pays des merveilles c’est bien. Le livre, hein, parce que le film, comment dire, bon. Sinon, Alice (la vraie, pas celle de l’autre imposteur, là) vous parle aussi du dernier Baxter. Tout ceci est follement radiophonique. « Là ! Là ! Un oeuf ! » s’exclame Mlle I.

[…] Honneur et gloire éternelle, la Salle 101 parle de drogue, de chèvres et de relations père-fils. « Ah mais quelle tête de con, » se lamente Raoul A.

[…] Navrée par le limogeage de son ami Xavier Darcos, la Salle 101 consent néanmoins à parler des frères Strougatski, de Bad Lieutenant version Herzog et de Shutter Island version bédé. Tout de même. « Ça doit être sympa, de crever là » reconnaît Michel D.

[…] Heureuse et sereine (malgré la disparition de Roger — la France a peur — Gicquel), la Salle 101 parle sans trembler de Pierre Michon et de Nick Cave. Le tout avec classe et détachement. « Zut, j’ai encore perdu ma boulette dans l’herbe, » se plaint le jeune Mathurin N.

[…] Inconditionnelle de Bourvil, la Salle 101 passe du Bourvil. Et entre les chansons de Bourvil, la Salle 101 parle de Lupus (de Peeters), de l’Empire invisible (de Noirez) et de La horde (film français — navrant — de zombies). C’est au-delà de l’indicible. « C’est flou, non ? » demande Jean-Pierre L.

[…] Dans un hurlement de joie sanglante, la Salle 101 discute de tout un tas de trucs fous, dont Nuigrave de Murail, Père des mensonges, de Evenson, voire Maus, de Spiegelman. C’est ici. « Putain, faut que je range, » se lamente Émile H.

[…] Grâce au renforcement de la présence policière en France, la Salle 101 est en mesure d’évoquer plusieurs choses, dont Affliction, Le dernier samouraï (sans Tom cruise, promis) et Quai des enfers. « J’ai comme un coup de déprime, » se lamente François C.

[…] Augmentée d’un nouveau chroniqueur, la Salle 101 se lâche sur Guyotat, Gainsbourg et Leo Kennel. Avec une sobriété remarquable. « Non, rien, finalement » reconnaît MartinB.

[…] Cette semaine, la Salle 101 a tout donné. Du conte coréen, de l’histoire populaire américaine, de l’amour, de la musique (et du son pourri dans les 7 premières minutes). « L’idée, c’est que l’architecture suscite l’envie » martèle Jean N.

[…] Ellroy, James Ellroy, vous connaissez ? Un petit auteur dont personne ne parle, à part la Salle 101. Sinon, on dit aussi du bien de Big Fan, dernier roman de Fabrice Colin. La France avance. « Alors ? On n’a pas l’air con, là, hein ? » demande Gilles S.

[…] Robert Sheriff a inventé la SF anglaise moderne. Alice Abdaloff vous explique pourquoi. Francis Ford Coppola n’est pas un mauvais cinéaste. Raoul Abdaloff vous explique pourquoi. Joann Sfar n’est pas un mauvais dessinateur. Jules Abdaloff vous explique pourquoi. La Salle 101 est bien contente. « J’aime bien les barbapapas, mais pas François, » avoue Julien I.

[…] Preuve que la Salle 101 se rit de l’espace temps, voici l’émission de Noël, consacrée à Dominique Manotti (pour son roman « Bien connu des services de police » en Série Noire) et Yoss (pour son oeuvre au sens large). « Incroyable, le nombre de morts qu’il y a » s’étonne Jean-Louis C.

[…] La Salle 101 est partie en vacance. Depuis les montagnes du Sud-Est Catalan, Alfred est donc obligé de faire un montage sonore recompilant ses premiers zappings et autres stupidités avec de la musique autour. Voici le résultat, ici: borgoblo “Il n’y a pas que dans le métro que la vie est nulle » se lamente […]

[…] Nue dans la prairie, la Salle 101 parle de La Genèse (mise en BD par Crumb), juste après le cri d’amour de Jules Abdaloff lancé pour La Ville Absente, de Piglia. C’est ici. « Hein ? » demande Jean-Michel P.

[…] La Salle 101 dit tout sur deux auteurs fondamentaux (mais différents): José Saramago et Dashiell Hammett. Rien de moins. À noter que les dix première minutes de l’émission ont un son dégueulasse. Une enquête interne est en cours. « Je te jure, il avait la boîte à gant entièrement rentrée dans la gorge, » nous explique […]

[…] Dépassée par la clairvoyance gouvernementale et fascinée par le concept d’identité nationale, la Salle 101 dit du bien de Lucius Shepard, du mal de Goemon et du bien de Ian Mc Donald. « Trop classe, ma bagnole, » se vante le jeune Patrick I.

[…] Fidèle à sa tradition progressiste, la Salle 101 parle aujourd’hui d’un (excellent) polar argentin, d’un (excellent) roman qui met en scène un rat mangeur de livres, ainsi que d’un (pathétique) film comme seule la France sait en produire. « Elle est super froide, quand même, » nous prévient Françoise C.

[…] Folle de joie, la Salle 101 parle d’un libre peu lu, En moins bien, d’Arnaud Le Guilcher, ainsi que d’un livre pour enfants, Sam, de Jérôme Noirez et Aurélien Police. Et avec ça, on dira que la crise ruine l’économie française. « Oh ptain, l’aut’jour, comment j’étais bourrée, » nous signale Anita R.

[…] Chose rare et improbable, la Salle 101 parle bande-dessinée, cette semaine. Et pour savoir desquelles — car oui, il y en a plusieurs — autant cliquer ici. « Oh, tu sais, moi, je m’en tape, hein, je préfère la guitare » nous explique Alexandre M.

Livrés à eux-mêmes, Jules et Raoul perdent pied avec la réalité et discutent du film Ultimate Game avant de dire du mal du dernier recueil de Philippe Curval, L’homme qui s’arrêta. « Houlà, elle est super froide ! » nous préviens François Bon, à Plaisir-Grignon.

[…] Dans un sursaut de haine et de rejet de l’altérité, la Salle 101 parle d’Axis, de la Brigade chimérique et d’Anne Fakhouri, le tout avec une certaine élégance.   « Putain, fait chier, j’ai plus qu’un chewing-gum, » se plaint Philibert A.

[…] La guerre, la crise, la mort, la rentrée. « Moi, honnêtement, je m’en fous, » nous rassure David C.

[…] Fidèle à la grande tradition progressiste qui caractérise l’émission, la Salle 101 se laisse désormais télécharger en un seul morceau et parle de Johnny Hallyday, de Sean Stewart et de Michael Chabon.  « J’étais bien content de savoir nager, » nous rassure Jean-Louis Didier.

[…] La famille Abdaloff n’a pas peu de défier le clan de la montagne noire, aussi parle-t-elle avec élégance de zombies, de bande-dessinée chinoise et de Rahan. Comme quoi. « À mon avis, au prochain Mondial, on est bons, » nous promet Julien François.

[…] Alors que le monde civilisé s’enfonce dans la crise, la Salle 101 reprend la bannière de la subtilité en parlant tout d’abord des Spaghetti Brothers, puis de Xavier Mauméjean, avant de conclure avec l’ABC Dick. Et après, on dira que la décadence s’est emparé de l’occident. « J’ai toujours été fasciné par les insectes, » nous […]

[…] Comme prévu, Stéphane Beauverger est venu nous parler de son dernier roman — Le Déchronologue — récemment paru chez La Volte. Et yo-yo-yo, et non rien finalement. Télécharger/écouter la première partie. Télécharger/écouter la deuxième partie. Télécharger/écouter la troisième partie.

[…] Comme prévu, DOA a répondu à nos questions, devant un public pétrifié de terreur. Trois parties écoutables et téléchargeables ici : Première partie. Deuxième partie. Troisième partie.

[…] Notre nouvelle — mais brillante — recrue Jules Abdaloff subjugue l’assemblée en parlant de Turf et de La nef des fous. Fidèle à sa réputation de surfeuse de l’impossible, Charlotte Abdaloff évoque le destin de Nancy Kress et de son roman récemment paru en poche : Les hommes dénaturés. La veille de l’enterrement d’Alain Bashung, […]

[…] Malgré la présence d’un groupuscule néo-gauchiste mou, la glorieuse Salle 101 s’est tenue devant une audience aux cheveux courts. Nous parlâmes de Warchild, Space Opera™ de qualité, et de L’île au trésor. Mais celle de Pierre Pelot, pas celle de l’autre, là. « Comme vous m’êtes sympathique, je vous offre une place de parking. » Marcel […]

[…] En ces temps douloureux où le deuil d’une nation transie trouve une échappatoire manquée dans un réel parfois frelaté, la Salle 101 continue son oeuvre émancipatrice et — avec une dignité qui n’échappera à personne — évoque d’abord la sombre affaire Benjamin Button, avant de s’en prendre aux japonais avec Opération Mort, de Shigeru […]

[…] Rassurée par la fin du désordre dans les rues de notre beau pays, la Salle 101 envisage tranquillement ses vacances et sirote un cocktail en regardant défiler ces pauvres qui, malgré leur laideur, restent assez pittoresques, la preuve : Houston, Houston, me recevez-vous ?, de James Tiptree Jr. Le livre du Nouveau Soleil, de Gene […]

[…] Un peu lassée par la plèbe vociférante incapable de comprendre les bonnes intentions d’un gouvernement qu’elle a pourtant démocratiquement élu, la Salle 101 entreprend un sévère redressement moral, comme tu peux le constater : Les Échappées, très chouette chose de Lucie Taïeb. La cabane aux confins du monde, roman complètement con de Paul Tremblay. […]